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Dans Romans

DEBUTATOR

Le 24/01/2023

2022

1 – Les ampoules n'arrêtent pas de claquer

Chaira Mi,

Jete écrie par se que je oie t'eudire que ge suizant vaquansse o bore dela mère. Geu messuis fèt unamie. Ella lé cheuveus vère é le né rouje pas se que élla attrapé un coude froid. Ella une vairru sul menton. Ellé pas trai bé le mé éllé jentie. Jete lape résanterai dé mon retour.

Abien to !

Moi

 

 

 

 

« Ah, ah ! Elle n'écrit pas très bien ton amie ! Mais je suis d'accord avec elle. L'année 2039, avec ses plages, est très belle… J'aimerais y aller !

- Moi, j'y suis allé, Papa ! En colonie temporelle !

- Oui, je sais !.. En 2513, il n'y a plus de plage, c'est la guerre !

- Tiens, au fait, mon amie m'a aussi envoyé un robot mais elle a oublié de mettre le programme dans le colis ! Toi qui répares les robots, tu n'en aurais pas un de rechange ?

- Bien sûr que si ! Va voir dans mon laboratoire et prends la plaquette orange qui est sur l'étagère. Ne confonds pas avec le programme rouge que je réserve au soldat robot « XXXXL ». Ah, la guerre ! Toujours la guerre ! Il y en a marre de leurs soldats robots ! Et moi, je suis obligé de les construire, sinon, « couic ! », comme disait Philémon, en 2022. Bon, et bien va le chercher, ce programme, Jules !

- Oui, Papa ! »

Et il alla dans le laboratoire. Jules appuya sur l'interrupteur, rien ne se passa. Il cria :

« Papa, l'ampoule a claqué !

- Encore ? C'est la troisième fois ce mois-ci ! Bon, et bien prends la lampe de poche qui est dans le tiroir du meuble du couloir.

- Je ne peux pas, les soldats robots ont besoin des piles pour leurs tasers ! C'est pas grave, moi, j'y vois comme un chat, dans le noir ! »

Il entra dans le labo. Il y avait un de ces bazars là-dedans ! Jules trébucha sur un alambic nucléaire, une patate électronique et une voiture de collection, avant d'arriver à l'étagère. Bien sûr, comme il était dans le noir il se trompa et prit le programme rouge ! C'est bête ! En revenant dans le salon où était son père, il le trouva la tête levée, en train de regarder l'ampoule qui, elle aussi, avait claqué !

 

2 - Débutator débute

Le père dit alors :

« Bon, tu vois le robot ?

- Oui, Papa !

- Alors mets-lui le programme. »

……………………………………………………………………………………………………………………………………..

- C'est fait, Papa !

- Bon, heu… Oh, mince ! Il est quelle heure ?

- 19 heures, Papa !

- Vite ! Viens m'aider à mettre le programme dans le robot « XXXXL » ! Je dois le livrer demain !

- Et mon robot ? Qu'est-ce que j'en fais ?

- Oh, il vient avec nous ! »

En cette guerre de 2513, tout le monde devait avoir un pistolazer à la ceinture. C'était le cas du père de Jules. Il posa son pistolazer sur la table, à côté car celui-ci le gênait. Le robot de Jules, qui était resté dans un coin, s'avança, prit le pistolet et abattit froidement le père ! Le fils essaya de s'enfuir mais la machine le rattrapa et le tua tout aussi froidement !

Puis, il s'enfuit. Mais le robot XXXXL se réveilla. Il venait de recevoir le programme orange ! Il colla ses mains l'une contre l'autre et créa une boule d'énergie. Il décolla ses mains et les mit de chaque côté de la tête du fils, puis du père et ils se réveillèrent. XXXXL parce que content de lui ! Il alla chercher un couteau à la cuisine et se grava sur son ventre en acier :

Debutator

3 – Butons ce sale créeur d'homme !

Débutator sortit de la maison et alla au bureau de poste robotique pour se renseigner sur la cabine temporelle la plus proche. Pourquoi ?

Parce que, comme tous les robots, il pouvait lire dans le cerveau électronique des autres robots. Et le robot de Jules voulait aller dans le passé pour détruire Dieu. Il pensait qu'en tuant Dieu, il serait le seul sur Terre à régner car les Hommes n'existeraient pas. Il était un peu bête, il voulait remonter en 2015 pour « buter ce sale créeur d'Hommes », comme il disait. Mais comme il ne savait pas à quoi ressemblait Dieu, il jurait de tuer tous les gens qu'il rencontrerait !

En arrivant en 2015, il vit, entourés de barrières, 50 cadavres, morts étranglés par une poigne de fer.

« Apparemment, en 2015, il ya beaucoup de Dieux ! Ah, ah ! Bon, RDJ aggrave son cas. 50 victimes, ça commence à faire ! Vite ! Là-bas ! Une ombre ! Va falloir le suivre ! Bon, et bien c'est parti mon kiki ! »

Il suivit RDJ jusque dans une ruelle sombre, puis il sortit le petit canon lazer inséré dans son doigt et tira sur l'ombre. RDJ apparut ! Débutator avait tiré sur le système d'invisibilité qui s'était détraqué ! Rdj passa à l'attaque ! Le poing en avant, il s'élança ! Débutator l'évita de justesse ! RDJ lança un coup de pied ! Cette fois, Débutator le prit en pleine tête ! Il s'effondra. RDJ éclata d'un rire sinistre, puis : Atchoum, il éternué. Il avait utilisé trop d'énergie en même temps. Il s'enfuit en titubant, entra dans un hôtel et donna un coup de poing négligeant au concierge qui se mit à crier à tous vents :

« Bonzour ! Mêsssieûx zê Maîdammmes ! Les chambres zont prêêêtes ! »

RDJ monta dans la chambre 206, se brancha à une prise de courant et se mit en veille. Comme le cerveau de RDJ était éteint, Débutator, par télépathie, ne savait pas dans quelle chambre il était !

Alors, il revint vers les 50 cadavres et les réanima.

*Robot de Jules

 

4 – Enrayé !!!

Parmi les 50 cadavres, il y avait quelques militaires. Après avoir ressuscité, ils voulurent lui donner de l'argent, mais Débutator ne le voulut pas, il n'en avait que faire ! Les soldats lui remirent alors leurs grenades et un lance-grenades puis ils s'en allèrent.

Il avait un plan. L'hôtel où était RDJ, il allait le faire sauter ! Il écrivit donc une lettre signée du Ministre des affaires étrangères :

Bonjour Monsieur,

Je vous écris car une guerre menace d'éclater. Etant donné que je suis un habitué de votre restaurant, je vous préviens et vous dis d'évacuer le bâtiment.

Cordialement,

    Drapeau                                             Signature

                                                   le ministre

                                                                des affaires

                                                                étrangères

 

Moins d'une heure plus tard, il n'y avait plus personne dans l'hôtel à part RDJ qui dormait.

Tout le monde était parti en trombe à l'annonce de « ministre Débutator ».

Voyant que tout était calme, il arma son lance-grenades et… Clic !… Clic, Clic, Clic Clic !

Enrayé ! Le lance-grenades s'était enrayé !

« Ah non !!! s'écria Débutator, c'est pas possible ! Ced trucs modernes, euh, anciens, enfin, anciens pour eux et modernes pour moi, non, euh, je calculerai ça plus tard. Bon, alors, qu'est-ce que je fais ?… »

Ce qu'il allait faire, il ne le savait pas. Il ne connaissait pas encore toutes les ressources de son corps robotique…

 

5 – En avant sur la grue

C'est à ce moment que Jules apparut :

« Salut !

- Qu'est-ce que tu fais là, toi ?

- Je t'ai apporté un lance-grenade !

- Eh bien ! Tu tombes à pic !

- C'est plutôt RDJ qui tombe à pic ! Regarde-le, il s'est jeté par la fenêtre !

- Vite ! Le lance-grenade ! »

Jules lui passa l'arme. Débutator arma et… Clic !

« NON !!!!!!!!! »

Il enrayait ! Euh, il enrageait !

« Utilise ton lazer ! Proposa Jules.

- Quel lazer ? Demanda le robot.

- Ton lazer frontal, sur le front ! Attends, je vais t'aider. Baisse-toi ! »

Débutator se baissa et Jules lui ouvrit le crâne. Le garçon appuya sur un bouton et un rond rouge se dessina au-dessus des yeux du robot !

FLOUFF

Un gros rayon sortit et coupa net le bras de RDJ ! En même temps, sa jambe droite disjoncta. Il s'était aussi arraché la moitié de la tête en tombant car la chambre 206 était au troisième étage. Bref, il était mal en point ! Il réussit tout de même à s'enfuir !

« Le robot, dans l'frigo ! Tu te casses, à la casse !…, chantonnait Jules.

- Et la casse, ce n'est pas un palace, compléta Débutator. » Il y avait quelques chansons dans le programme orange (si, si ! Rappelez-vous, au début). 

Le cerveau électronique de RDJ était tellement endommagé que Débutator ne pouvait plus lire dedans !

Alors Jules l'aida à allumer ses réacteurs et Débutator s'envola. Il y avait un chantier pas très loin. Débutator se posa sur la grue, regarda les alentours et aperçut RDJ. Il eut du mal à le reconnaître ! C'était une carcasse de métal qui faisait « CLONG ! CLONG ! » à chaque pas ! Il arriva quand même à un boîtier électrique. Il mit son doigt dans une prise. Débutator vit un éclair bleu et une chose noire, juste après, qui s'enfuyait.

Débutator était toujours sur la grue. Il se mit debout, se concentra et devint rouge. De la lumière sortit de ses yeux et

CLAC !

Toutes les lumières de la ville s'éteignirent !

Débutator était en train d'emmagasiner toute l'électricité qu'il y avait dans la région. Il avait pensé qque cela ralentirait RDJ et qu'à lui, Débutator, cela lui permettrait de le rattraper plus vite.

Il descendit de la grue, se mit à plat ventre et se transforma en voiture.

« Vite ! Monte ! » dit-il à Jules.

Et il démarra en trombe.

 

6 – On a volé le parapluie temporel !!!

100, 150, 200, 250, 300 !!! 300 km/h !!!

Jules était collé à sson siège ! Et Débutator accélérait de plus en plus ! Cela devenait effrayant. Effrayant mais efficace !

RDJ n'était plus qu'à 500 mètres, 100 mètres même ! Débutator lui sauta dessus. Mais : POUF, il disparut !

« Un clone ! » pensa Jules.

Mais pas du tout. RDJ venait tout simplement de faire un saut temporel.

Débutator se dit :

« Un saut temporel temporaire, car je saurai le ramener, moi ! »

Il sortit son traceur d'énergie qui servait à suivre l'énergie temporelle.

Le traceur cherchait quand un petit homme surgit. Il était maigre et avait un imperméable beige et un chapeau de même couleur. Il criait d'une voix nasillarde :

« Au voleur ! Au voleur ! »

Puis, en voyant le gros robot :

« AAAAAh ! Le robot XXXXL ! Au secours ! Je suis sûr que c'est lui qui m'a volé mon parapluie temporel ! 

- Doucement, l'ami ! Je ne suis plus XXXXL, je suis

Débutator !

Et c'est RDJ qui vous a volé votre parapluie temporel pour s'échapper…

- Et bien excusez-moi de… »

ZZZDOUIZT Clac !

« Ca, c'est le traceur ! dit Débutator. Alors on n'a plus aucun moyen de savoir où est RDJ.

- Ah, mais si ! s'écria le petit homme. J'ai réglé mon parapluie sur 1510 ! Je voulais admirer la Joconde.

- Mais, dit Jules, de quelle année êtes-vous donc ?

- De la même que vous puisque je connais XXX… heu, Débutator.

- Z'avez bientôt fini ? Il faut se dépêcher de trouver un moyen de voyager dans le temps !

- Peut-être que si on trafique le lance-grenades enrayé, on…

- On n'a pas besoin de ça, dit le petit homme, j'ai mon idée…

 

7 – Mona Lisa, the time's girl !

« La Joconde, en 2015, sert de relais du temps. Il suffit donc de se payer un entrée au Louvre et de plonger dans le tableau quand personne ne nous voit.

- Bah, alors, qu'est-ce qu'on attend ?

- Mais rien puisqu'on y est déjà !

- Hein ?! »

Pendant qu'ils parlaient, le petit homme avait ouvert le cadran de sa montre qui cachait un gros bouton rouge.

En appuyant dessus, le décor avait changé.

Ils étaient maintenant au pied de la pyramide de verre du Louvre.

« Ca vous en bouche un coin, hein !? demanda le petit homme. Je parie que vous aller me demander comment cela s'est produit ? Et bien, c'est l'influence de la Joconde sur vous. Regardez, elle est juste devant vous ! »

Ils étaient maintenant dans la salle où reposait Mona Lisa.

« On se déplace vite, en 2015, fit remarquer Débutator.

- Allez, vous venez ? »

Jules avait déjà un pied dans le tableau.

Tout à coup, une voix s'écria :

« Ne partez pas sans moi !

- Qui c'est, çui là ? demanda le Petit Homme.

- Je suis Jonny Allidais, le père de Jules.

- Et moi, c'est Mikael Jakson !

- Non, non ! Ca s'écrit : ALLIDAIS.

- Ben ça alors ! C'est une sacrée coïncidence ! Moi, c'est Eddy Mytshaile. MYTSHAILE !

- Puis-je vous appeler « Eddy » ?

- Oui, d'accord, mais grouillez-vous, ils sont déjà partis !

- Et bien allons-y !

Et Jonny s'engouffra dans le tableau, bientôt suivi par Eddy.

Ils se retrouvèrent tous les quatre en 1510 (ou presque!).

« Oups, dit Jules, en entrant dans le tableau, j'ai oublié de régler la date d'arrivée !

- Demandons la date à un passant ? proposa Débutator. »

« Excusez-moi, monsieur, en quelle année sommes-nous ? fit Eddy.

- Cré, vin diou, en 1509, pour sûr !

- Ouf ! On est pas tombé loin ! dit Jonny.

- Ca aurait pu être pire ! Renchérit Jules.

- Il va falloir attendre un an ?

- Je ne crois pas ! dit Débutator. »

RDJ venait d'apparaître au coin de la rue.

« Tous sur lui !!! cria Débutator. »

 

8 – Xella

En arrachant le parapluie temporel des mains d'Eddy, RDJ l'avait déréglé. Il s'était alors, lui aussi, retrouvé en 1509.

Après le cri de l'ex-robot XXXXL, tous les quatre se ruèrent sur RDJ ! La bataille ne fut pas longue. Débutator tenait RDJ par la jambe droite, Eddy par la jambe gauche, Jonny par le bras droit et Jules par la tête.

Débutator souleva un passant qui passait et, avec, tapa sur la tête de RDJ !

RDJ redisjoncta.

Débutator arracha un câble rouge qui pendouillait du ventre du robot et l'attacha avec à un poteau électrique.

Un poteau électrique ?

En 1509 ?!!

«  Voilà pourquoi la Joconde avait une barbe ! s'écria Jules. Le tableau a été déréglé et il a fabriqué une fausse dimension ! Nous devons être dans les années 10000. Là où on fabrique les fausses dimensions !

« Exact ! » dit une voix derrière eux.

Les 4 amis se retournèrent. Il y avait devant leurs yeux une femme robot très belle. Assez grande, très fine, elle avait de jolis yeux couleur gris métal qui luisaient au soleil.

Le cœur de Débutator fit un bond !

« Je m'appelle Xella, reprit-elle d'une voix cristalline. Vous êtes en 10999. Le 31 décembre 10999 à 23 heures 59 minutes et 7 secondes. Autrement dit, dans 43 secondes, ce sera la fin des années 10 000, donc toutes ces dimension vont disparaître et moi avec ! Car je suis la créatrice de cette dimension touristique de 1510. Tiens, regardez, encore un touriste qui veut partir ! »

Le touriste, un gros bonhomme avec un double menton, sortit de sa poche une espèce de dé en caoutchouc mais sans point et beaucoup plus gros que la normale. Il le pressa fort, fort, fort… et il disparut !

« En tant que créatrice, je dois disparaître avec ma création. C'est comme ça. Vous feriez mieux de vous en aller aussi !

- Non, dit Débutator, je vais vous sauver !

- Nous aussi ! Nous aussi ! dirent Eddy, Jonny et Jules en chœur. »

Eddy monta sur la tête du robot, Jonny sur son épaule et Jules s'accrocha à sa jambe. Débutator prit la main de Xella et l'entraîna vers un passant. Au moment où le badaud pressa le dé, le robot lui mit la main sur l'épaule ! Ils disparurent tous les six.

Débutator, pris par son élan et ne pouvant plus s'arrêter, alla s'écraser par terre et, comme tout le monde s'étaoit accroché à lui, ils se retrouvèrent tous par terre !

« Mais ça ne va pas, non ! Z'êtes complètement tarés ! Ouaich ! »

Et il s'en alla la tête haute et le regard haineux.

Sans prêter plus d'attention à ce passant colérique, Jules déclara sur un ton solennel :

« RDJ est mort... »

 

9 - Est-il vraiment mort ?

« RDJ est mort ! Tout est redevenu tranquille, alors maintenant c'est quand qu'on bouffe !? J'ai la dalle, moi ! »

- Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! fit Eddy.

Xella fit un gros bisou sur la joue de Débutator :

CHPING !

Cela fit un bruit métallique et il devint tout rouge (même si c'est un robot!) !

Quelques mois après, Débutator se maria avec Xella. Ce fut un beau mariage ! Xella était très belle dans sa robe vert pomme ! Tout le monde était heureux.

Pourtant, Débutator avait des doutes : et si RDJ n'était pas mort ? S'il s'était échappé avec le dé au moment où lui disparaissait ? En ce moment, où serait-il ?

Que de questions sans réponse !

Il fit alors quelque chose qu'il n'aurait jamais dû faire !

Il se connecta à RDJ par télépathie !

 

10 – Epilogue

Débutator entendit alors :

« Débutator ! Je te retrouverai ! Et alors là, je te tuerai ! Ma vengeance sera terrible !! Terrible !!!

Wah

 

FIN

L'interview imaginaire : on a posé vos questions à Jules Verne

Le 24/01/2023

Juin 2022

Bonjour Monsieur Verne. Quel est votre roman préféré ?

Bonjour, c'est La glace à la Pistache.

Connaissez-vous réellement quelqu'un qui se nomme Némo ?

Oui, mon poissonnier ! Il rend toujours la MoNé. AHAHAHA.

Sur quel support écrivez-vous ?

Hé bien, sur Pluton 2, ma planète, il n'y a ni papier ni ordinateur, j'écris avec mon balai.

Avez-vous réellement réalisé un tour du monde en 80 jours seulement ?

Non, c'est ma tortue qui l'a fait ! Pas moi, je ne sais pas d'où provient cette rumeur.

Êtes-vous l'auteur de Dracula ?

Vous êtes complètement à côté de la plaque mon pauvre vieux ! Dracula c'est nul ! Moi j'écris des histoires comme Victor Hugo, Alexandre Dumas, Tchoupi…

Quel âge avez-vous au fait ?

Oulala, dans les 200 ans , facile !

Mais vous n'êtes pas mort ?

Oh mince, je suis mort c'est vrai…

Son système nerveux l'ayant informé qu'il est décédé depuis fort longtemps, Monsieur Verne est tombé raide. Désolé, nous ne pouvons continuer l'interview dans ces conditions.

Introduction à un projet de pièce de théâtre à partir du Petit Prince

Le 24/01/2023

Début 2022 Depuis ma rencontre avec le Petit Prince, j'ai relu « Histoires vécues » et j'ai rajouté une plume à mon dessin n°1. C'est pour faire plaisir aux grandes personnes. Elles disent que c'est un chapeau, alors c'est un chapeau. Mais là, j'ai été très déçu par les grandes personnes. Je faisais l'expérience de mon dessin n°1 et elles répondaient : « C'est un boa à plume qui digère un éléphant. » Mais je ne vous ai pas dit ! Le Petit Prince, je l'ai revu en rêve ! Il m'a expliqué qu'il avait exploré d'autres planètes. J'ai connu le petit prince quand je me suis écrasé dans le désert, à 1000 milles de toute terre habitée. Avant d'arriver sur la Terre, il avait visité plusieurs planètes, comme celle du roi ou celle de l'allumeur de réverbère. Un jour, il se posa sur une planète, une grosse planète ! La Terre. Sur la Terre, il rencontra d'abord un serpent, puis une fleur. Il trouva une route, et les routes vont toutes chez les Hommes ! Il apprivoisa un renard qui lui révéla un secret. Il rencontra aussi un aiguilleur, un marchand de pilules et des roses. J'ai écrit un livre sur le petit prince mais les grandes personnes n'ont pas voulu me croire. Je disais donc que le petit Prince m'était venu en rêve. Je vais vous raconter ce qu'il m'a raconté...

Le Petit Ogret (Avec le Petit Ogret dans le rôle du Petit Ogret)

Le 24/01/2023

14.02.22

Un couple de mangeurs d'enfants et leur fils étaient très pauvres.

Le mangeur d'enfants dit un jour à sa femme :

« Nous n'avons plus de marmot à manger. Demain, nous irons perdre notre enfant et les cactus dans la forêt des sales gosses. »

Le Petit Ogret, qui avait tout entendu, essaya de sortir par la porte d'entrée mais elle était fermée. Il passa alors par le vasistas et se retrouva sur le toit. Il se mit à cheval sur l'arête de celui-ci.

C'était une position assez inconfortable alors il se laissa glisser sur les tuiles vertes. Il atterrit juste sur le cactus apprivoisé de la famille.

« Mon petit Médor, j'ai une question. Où est Médacor ? »

« Je suis là ! Coucou !

- Tu dors pas ? demanda Médor ?

- Ben non… répondit Médacor.

- Mais dors !!!

- Mais d'accord !!! »

Et les deux cactus s'endormirent.

« Mais réveillez-vous ! Vous n'allez pas commencer !? Allez, venez. »

Après avoir ramassé de gros cailloux noirs, le Petit Ogret se projeta à nouveau sur le toit par un prout.

Prr 1D'accord, cela sentait mauvais mais il était à nouveau dans sa chambre.

Le lendemain, quand ils allèrent faire une promenade dans la forêt des sales gosses, le Petit Ogret déposa tout les 10 mètres un gros caillou noir. De ce fait, les cactus et lui purent revenir à la maison sans problème !

Le couple fut quand même content de les revoir !

Mais les enfants vinrent de nouveau à manquer.

Le couple décida, illico presto, de perdre les cactus et leur fils dans la forêt des sales gosses. Le Petit Ogret avait tout entendu mais cette fois, le vasistas était fermé !

Le lendemain, la famille partagea son dernier enfant.

Le Petit Ogret reçu les doigts.

Il eut alors une idée.

Le long du chemin, il sema, non pas des cailloux, mais des doigts !

Bien sûr, quand il voulut revenir à la maison, il vit que les rapaces avaient tout mangé. C'était à prévoir !

Il se dirigea donc vers n'importe où. Il fit un prout :

Prr 2

qui le mena au sommet d'un arbre.

SautLà, il vit un autre arbre. Plus grand que

celui sur lequel il était. Il sauta donc dessus.

(Sauter, façon de parler!)

Prr 3

 

 

 

Là, il vit, je crois que je me répète, un grand château !

Il descendit de son arbre et frappa à la grande porte. Une femme lui ouvrit.

« J'ai faim et froid, pouvez-vous nous héberger, mes cactus et moi ? 

- Hélas, dit elle, vous êtes dans la maison d'un Petit Poucet. Si vous le voyez, vous le mangerez tout cru ! Vite cachez-vous, je l'entends arriver ! »

En effet, le Petit Poucet arrivait. Il dit en tremblant :

« Ça… Ça sent l'o, l'o, l'ogre pa, par ici !

- Mais non, répondit sa femme.

- S, s, si ! Il me mangera demain ! Je le sens !

- Bon, d'accord » dit le Petit Ogret, en se résignant. Il sortit de sa cachette.

Le Petit Poucet avait 1 fille et 2 plantes carnivores.

Dans la chambre, il y avait 2 lits. Un pour la fille du Petit Poucet et un pour le Petit Ogret, Médor et Médacor.

Le Petit Poucet n'était pas du genre à se faire manger comme ça ! Il prit un grand couteau à la cuisine, entra dans la chambre, tâta la tête de chacun des enfants et coupa la gorge de celui qu'il croyait être le Petit Ogret !

Mais le Petit Ogret avait tout prévu ! Il avait échangé son bonnet en peau d'élève de CP contre le bonnet de nuit de la fille du Petit Poucet.

Le Petit Poucet avait donc égorgé sa propre fille. Il se pencha ensuite sur l'autre personnage, qu'il croyait être sa fille mais qui était en fait le Petit Ogret, et voulut l'embrasser.

Le Petit Ogret se jeta sur lui et :

Miam 1

il le dévora !

Il fit pareil avec la femme :

Miam 2

Puis il alla dans le coffre-fort du Petit Poucet et prit toutes ses richesses ainsi que les mocassins de 7km.

Avec ça, il retrouva bien vite sa maison et avec les richesses, ils purent manger à leur faim !

Pourtant, il manquait quelque chose… mais quoi ?

Tout d'un coup, le Petit Ogret s'écria :

« Médor et Médacor ! Je les ai oubliés là-bas ! »

 

Fin

Grabuge au collège écolo !

Le 24/01/2023

01.04.22

Le sujet était : "Vous êtes en l'an 2100 et c'est le jour de la rentrée. Elle promet d'être bien différente des précédentes car vous découvrez un collège d'un nouveau genre : un collège à la pointe de l'écologie. A la fin de la journée, vous racontez votre journée à vos parents. Puis, dans un dernier paragraphe, vous vous demanderez si ce collège est le collège idéal".

 

« Maman, Maman ! Ce sera ce collège-là ? 

- Non, mon chéri, c'est hors de question ! Regarde-moi ce dépotoir ! La chaise volante a un pied cassé ! Et regarde la fumée que ça dégage ! Non, non et non, tu n'iras pas dans ce collège ! »

Ma mère et moi étions en train de visiter un collège pour mon inscription mais cet endroit était d'une saleté incroyable.

Ma mère sortit en courant en me traînant par le bras.

« Maman, il ne reste plus qu'une semaine avant la rentrée des classes. Est-ce que je vais la louper ? demandai-je.

- Non , on va bien trouver quelque chose... ou pas ! »

Le « ou pas », ma mère ne l'avait pas dit, elle l'avait pensé.

J'avais emporté avec moi mon « télépathe 3000 » qui peut même lire la pensée des Dino : Groaaaa ! Ah, mais non, miam, je ne suis pas gros, sale dino ! Télépathe 3000, du cerveau-cerveau sans fil ! (C'est la pub).

Maman me déposa à la maison car il était déjà tard. Il restait 1 collège sur la liste. Elle s'y rendit.

Le lendemain, quand la machine à hibernation me réveilla à exactement 8 heures 15 minutes 50 secondes, 5 dixièmes, 5 centièmes, 3 millièmes, 9 dix millièmes, 2 cent millièmes et après j'ai la flemme d'écrire, ma mère m'appela dans le salon. Je m'assis sur le canapé magnétique et elle me dit :

« J'ai trouvé un collège. Il est vraiment dans l'écologie ! Il interdit les téléphones à nuclénergie. Seuls les téléphones plasma à énergie sableuse sont autorisés.

- Super, c'est celui que j'ai !

- Et puis vous allez faire plein de trucs écolo.

- Youpi !!! »

Le soir du premier jour, je contai à ma mère mes aventures de la journée.

« Matin, 1ère heure de cours. C'est du français.

Le EPC (écran à professeurs de cours) s'alluma et le cours commença.

Le prof était en train de nous expliquer le « Présent de l'écologie » quand le directeur (il a une grosse tête!) se matérialisa devant nous. Il nous dit :

« Je rrreviens d'oune voyage temporrrrel ! Vou la polloution qu'il y a en 2212, je me souis dit que l'on allait tester oune nouvelle machine anti-polloution. »

Il regarda a montre et dit :

« La constrrrouction de la machine est bientôt terrrminée !

Il était tout excité.

La machine tomba de… heu, ben… enfin voilà, quoi ! Elle tomba de la téléporteuse de l'ECC (entreprise de construction du collège).

Le directeur (celui qui a une grosse tête), nous dit :

« Je vous laisse l'essayer ! »

Et il se dématérialisa. Je remarquai alors que cette dématérialisation ne dégageait pas de radiation à électrons solaires instantanés. C'est bien, parce que premièrement, c'est écolo et deuxièmement, je suis allergique.

La machine était assez grande, vue de face. Je fis le tour et je découvris que la chose était plate ! Elle était aussi fine qu'une feuille ! Du côté, on de la voyait plus !

Le directeur avait laissé une télécommande en suspension dans l'air. Je la pris et appuyai sur le premier bouton. La machine alla se cogner contre un mur.

2ème bouton : La machine alla ramasser un papier qui traînait.

3ème bouton : La machine se mit à manger des élèves et à les transformer en graines !

Il a encore fallu que je sauve la situation !

Je cassai la télécommande et la machine s'arrêta. Je pris les graines, les plantai dans la terre fertile à nutrition bio-naturelle et les élèves repoussèrent bien vite !

Ce fut la fin de la journée.

Ce n'est pas le collège idéal mais je veux rester car il y aura beaucoup de rigolade !

 

College

 

Une sorcière au collège !

Le 22/01/2023

06.22

Le sujet était : "Tu soupçonnes un de tes professeurs d'être un sorcier ou une sorcière. Raconte de quelle manière tu as fait cette découverte. Décris son physique, sa démarche, ses vêtements... Mets en valeur les émotionss que tu as ressenties quand tes soupçons se sont confirmés. Et dis comment tu t'es sorti de ce mauvais pas. Tu feras au moins trois paragraphes. Ton récit est écrit à la première personne du singulier."

 

Aujourd'hui, la prof d'anglais était absente. Nous avons eu une remplaçante. Elle était habillée d'une robe noire et d'un chapeau de même couleur. Ce chapeau était drôlement pointu !

Nous avions anglais en première heure de cours. La remplaçante entra mais nous crûmes que c'était la femme de ménage car elle avait un balai sous le bras. J'ai alors chuchoté à l'oreille de mon voisin :

« Tu crois que c'est une sorcière ? »

J'entendis alors une voix derrière moi :

« Alors, on discute ? »

C'était la nouvelle prof ! Elle s'était déplacée extrêmement vite !

Aucun autre incident pendant les cours.

Ce soir-là, je crois avoir vu la prof s'envoler sur un balai mais je ne suis pas sûr.

Le lendemain, mes soupçons se confirmèrent. La nouvelle est bien une sorcière.

Etoile 

J'ai découvert une étoile satanique sur le mur de l'école, dessinée à la craie rouge. La craie, je l'ai vue dépasser de la poche de la prof.

 

Sorciere

La prof surveillait la récré quand elle s'arrêta et fixa un angle de la cour. Il y avait une bagarre. Je suivis alors son regard. Je tournai la tête de sorte que je ne voyais ni la bagarre, ni la sorcière. Je continuai à tourner la tête et la bagarre entra dans mon champ de vision. La sorcière était déjà là ! J'étais adossé contre un mur, elle ne pouvait être passée derrière moi. Par où était-elle passée ?

 

Je l'ai vue dans un couloir. Elle chantonnait :

Notes sorciere

Elle dansait aussi. Je ne sais si c'est un effet de mon imagination mais je crois que ses pieds ne touchaient pas le sol !

FioleLe soir, il y avait beaucoup de monde dans la rue de l'école. La sorcière repartit à pieds. Je la suivis jusqu'à chez elle.

Je regardai par la fenêtre.

J'avais peur, affreusement peur. Si la sorcière me voyait, j'étais cuit ! Fichu, le Philémon !

A l'intérieur, tout était noir. Quand mes yeux s'habituèrent à la pénombre, je distinguai la sorcière mettant des ingrédients bizarres de toutes les couleurs dans un chaudron. De toutes les couleurs et aussi de toutes les odeurs car je venais de remarquer que ça sentait le… heu… ça sentait le rat crevé au camembert qui coule ajouté à des huîtres pas fraîches à l'ail.

ChaudronEn bas du mur, il y avait un soupirail ouvert. Je me mis à quatre pattes et passai par l'ouverture. Je tombai sur un tas de charbon. Mais, le charbon remuait ! C'était des araignées ! Et grosses, en plus !!!

Elles s'avançaient vers moi d'un air menaçant ! Je me ruai alors vers la porte. C'était une grosse porte en métal avec des gros clous un peu partout. Je tournai la poignée et poussai de toutes mes forces ! La porte ne bougea pas d'un millimètre. Je me retournai et vis les bêtes qui se rapprochaient de plus en plus ! J'entendis alors la porte grincer derrière moi. Une voix dit :

« Couché !!! »

Et les araignées se remirent en tas à l'autre bout de la pièce. En me retournant, je vis la sorcière ! Cette fois, c'en était trop. Je m'évanouis.

Je crois que je restai seulement quelques minutes évanoui. Ce que je sais, c'est que je me réveillai ficelé comme un rôti de porc prêt à mettre au four ! J'étais allongé sur une espèce de crocodile-canapé. Ce truc remua légèrement, ce qui me renversa sur le côté. Je vis que la sorcière était assise devant son chaudron et me tournait le dos. J'avais quelques vieux morceaux de biscuit dans ma poche. Je les plaçai sur les liens et le crocodile fit

Clacavec sa grande bouche pleine de grandes dents. En même temps, il avait tranché mes liens. Je m'avançai discrètement vers la sorcière en attrapant au passage une fiole sur laquelle il y avait une écriture bizarre :

SignesJe la balançai alors à la tête de la sorcière ! Elle se cassa sur sa tête ! La sorcière se liquéfia littéralement ! Toutes les choses qu'il y avait dans la maison et que la sorcière avait apportées disparurent. Il ne resta qu'un chaudron sentant vaguement le poisson pourri. La sorcière avait remporté son secret avec elle ! Depuis, il n'y a plus une seule araignée dans la cave !

 

FIN

Monstrueusement chou !

Le 20/01/2023

03.03.2022

Le sujet était : "En une vingtaine de lignes, vous raconterez votre rencontre, avec un monstre, dans un rêve. Vous ferz trois paragraphes que vous matérialiserez par des alinéas. Dasn le premier, vous ferez la description physique du monstre ; dans le deuxième, vous décrirez son caractère (est-il gentil ? méchant ? drôle ? cruel ? généreux ? avare ? timide ? etc.). Et enfin, dans un troisième paragraphe, vous inventerez une aventure vécue avec le monstre.

 

Cette nuit, j'ai fait un drôle de rêve J'ai fait la rencontre d'un monstre ! Nous avons vécu une aventure très attrayante, c'est le cas de le dire ! Ce monstre était comme cela :

Il ressemblait à un ordinateur. Il avait une tête plate et carrée d 'où sortaient des yeux comme des petites flèches. Sur son ventre, on voyait des gros boutons noirs avec une petite tache au milieu. Il n'avait qu'un pied sur lequel on voyait un drôle de signe :

BoutonIl n'avait pas de bras ni de bouche. Ses cheveux, ses cheveux, et bien, il n'en avait pas non plus.

Il était plutôt gentil mais très cruel. Il était d'un caractère soupçonneux et voyait tout le monde comme une menace. Il tuait pour un rien. C'était un monstre monstrueux.

Je m'étais endormi dans mon lit, comme d'habitude et, comme d'habitude, je commençai à rêver. Je mangeais un gigantesque chou à la crème quand cette espèce d'ordi arriva et me chipa mon gâteau ! Je voulus me fâcher mais il me devança et me cria à la figure :

« T'es une menace ou t'es pas une menace ?! 

- Hou ! Quelle vilaine phrase ! Il faut dire : Es-tu une menace ou n'es-tu pas une menace ? »

Il me cria encore plus fort :

« Mais réponds !! M… Pardon.

- Pour ce chou à la crème, je suis une très grande menace mais pour toi, je ne pense pas. »

Il se radoucit.

« Bon, alors ça va.

- Pourrais-je vous appeler « Ordi » ?

- Ah non, je suis désolé, moi c'est « Tèl » ! »

Nous étions comme cela à discuter quand nous fûmes attirés par un frigo géant !

« C'est une menace… » me murmura Tèl.

Je m'écriai :

« Mais qu'est-ce que tu fais, sale frigo ?!

- Oups, dit-il, je me suis trompé. Je suis un aimant à choux à la crème géants. Regardez ! »

Il s'ouvrit et je vis, mon rêve, des milliers de choux à la crème !!!

« Tu peux en prendre quelques-uns, si tu le désires. »

J'entrai pendant que le monstre restait dehors.

Soudain, la porte se referma et je me retrouvai prisonnier du frigo.

J'entendis la voix du monstre qui criait :

« J'avais bien dit que c'était une menace ! Je l'avais bien dit !! »

Je sortis alors mon lance-choux à la crème, on est bien dans un rêve, non ? Je le chargeai à ras-bord et…

Chplotch…je commençai à mitrailler le frigo de l'intérieur.

Il se mit à rire, à rire !

- Hi, hi, d'accord, ho, ho, je te relâche, ha, ha !!

Et il rouvrit sa porte. Je sortis en courant mais je ne remarquai pas que j'étais tout en haut et je

          Tombai

Je me réveillai en sursaut dans mon lit et je vis, juste à côté de moi, une petite figurine en forme de frigo et, collé dessus, un petit chou à la crème.

 

Frigo

Ce matin

Le 20/01/2023

12.05.22

Le sujet était : "Ecrivez une page de votre journal intime. Vous ferez part d'une journée de votre choix, au collège; vous préciserez la date, les circonstances dans lesquelles vous écrivez (moment, cadre...); vous développerez votre texte en employant des phrases complexes où les propositions seront reliées par juxtaposition ou coordination."

 

DateCe matin, je me suis levé de bonne heure (10h45) et je suis allé déjeuner. Mon père est arrivé, je l'ai traité d'idiot et il m'a donné un bonbon. Puis je suis allé m'habiller dans ma chambre. Je suis allé au bord de la piscine et j'ai fait un beau plongeon ! Mais j'ai oublié de me déshabiller alors j'étais tout mouillé. Je suis rentré prendre une casquette et des lunettes de soleil car je suis allé me promener, il faisait très beau.

Vers midi, je suis allé me préparer pour aller au collège. J'ai fait mes devoirs puis mon cartable et enfin j'ai fait une petite sieste en compagnie de ma peluche préférée.

Au réveil, je suis allé au collège pour voir si le tableau était toujours en place. Il y était alors je me suis assis à ma place et le cours a commencé. C'est alors que je me suis dit : pourquoi rester dedans quand il fait beau dehors ?

Je suis donc rentré chez moi et je me suis couché. Là, je suis dans ma chambre et je suis somnambule. Oh, ma crise de somnambulisme est finie !

Alors je dis vite à

  Demain