Les récits

Un pouvoir de Méga-Voyant

Le 10/12/2023

09-10.05.23

Ce matin, il m’est arrivé quelque chose de bizarre : j’ai reçu une lettre.

Pas une lettre en papier, non ! Une lettre en… ondes cérébrales.

Oui, en ondes cérébrales ! Il n’y avait rien et puis tout d’un coup, il ya eu le « message », dans mon petit cerveau !

 

J’ai onze ans, presque douze, j’aime les sucreries, la musique « pop ». Quelquefois, je joue à des jeux vidéo, enfin, je suis un garçon normal, quoi ! Et pourtant… pas si normal que ça…

Car depuis mes cinq ans, je vois la trajectoire des atomes. Dit comme ça, ce n’est pas très impressionnant, je sais, mais je vais vous expliquer : je vois la trajectoire passée, présente ou future de chaque atome de l’univers. En gros, je suis un méga-voyant !

 

Dans mon cerveau, le message disait :

 

« Sud-Ouest,

Ouistiti, faubourg,

Lié par la racine, suis,

Est, tourne,

Ils sont là les boutons,

Les lumières apparaîtront. »

 

Mais qu’est-ce c’est que c’est que ça ? Gravé dans mon esprit comme si je l’avais appris par coeur !

 

Bon, bien, alors c’est parti :

ça commence par

« Sud-Ouest »

Ca veut dire que je dois aller au sud-ouest… heu, c’est où, le sud-ouest ? Je dois avoir une boussole dans cette grande chambre qui est mienne ! Mais depuis quand est-ce que je parle comme ça, moi ? Attention, utilisation du pouvoir de méga-voyant ! Atome de magnétisme, es-tu là ? Ah oui, tiens, il est là dans l’armoire.

 

Plus tard, nous sortîmes, ma boussole et moi, par la porte(pas par la fenêtre, imbécile).

 

Au sud-ouest, il y avait la « rue de l’infini » comme on l’appelait avec les copains. Elle était tellement longue que l’on ne voyait pas la fin ! Il paraît qu’elle traverse sept pays ! Enfin bon, je suis la route pendant 500 mètres (c’est pas moi la route, crétin), et je me dis que non, ha non, surtout pas et hors de question que je me fasse sept pays à pied, moi ! Je ne suis pas infatigable, moi !

Alors je prends la deuxième phrase du message :

« Ouistiti, faubourg, »

 

Haaaaaaa… ça, je comprends ! Il faut sur la « route de l’infini », s’arrêter au faubourg Ouistiti, là où il ya mon école, et oui, car le faubourg Ouistiti est dans mon école ! Enfin, non, c’est plutôt l’école qui est… ho, et puis, ça n’a aucune importance !

 

Bon, j’entre dans le faubourg et là…

 

Suite au prochain numéro.

 

Nannnnnn ! C’est méchant ! Je vais continuer.

 

Passons à la troisième phrase du message :

 

« Lié par la racine, suis, »

 

Bon, et bien, voilà, voilà, qu’est-ce que je fais, maintenant ? J’appelle le bureau des renseignements des services secrets, ou Sherlock Holmes, ou alors je demande à ces platanes… à ces platanes…

 

« par la racine... »

 

dit le message. Je vais me servir de mon pouvoir pour suivre les racines sous la terre. Allez, go, c’est parti !

Par là, à gauche, à droite, encore à droite, trois fois à gauche, à droi…

«  Aïe !

- Kaï ! Kaï !

- Ho ! Excusez-moi, madame et désolé pour votre chien.

- Petit voyou ! Qu’est-ce qui te prend de marcher les yeux fermés !?

- Je… je suivais les atomes de racine de platane, quand…

- Qu’est-ce que vous me baraguinez ?!

- Hooooo… Rien, laissez tomber… »

 

Je reprends la piste des racines et au bout d’une douzaine de platanes… Bim ! Ca s’arrête ! Bon ! Phrase suivante !

 

« Est, tourne, »

 

Ca, c’est plutôt simple. Il faut que je tourne à l’est… c’est où, l’est ?

Et je ressors ma petite boussole.

 

A l’est se trouve une ruelle. Une ruelle bien propre et nette que je suis.

Au bout de cette ruelle, il y a la place des plots, comme je l’appelle. C’est une petite place cachée par de grands immeubles gris. Toute la place en question est entourée par une dizaine de gros plots orange. L’un, d’ailleurs, est plus rouge qu’orange, mais c’est pas grave, moi, je m’en fiche… n’empêche que ça m’intrigue.

Je suis venu une dizaine de fois ici et j’aime bien m’asseoir sur ce drôle de pouf rouge.

Alors je m’assieds.

Je regarde autour de moi mais rien, rien, rien ! Prout ! C’est bizarre ! Pourtant le message dit :

 

« Les lumières, apparaîtront. »

 

Mais, des lumières, et ben y’en a pas ! A part trois réverbères, il n’y a rien, rien et ri…

Des réverbères !? Et allumés, en plus ! C’est ça les lumières !

Oui, mais il y en a trois.

Peut-être qu’avec mon pouvoir… Ah oui, tiens ! Les atomes dessinent des formes à la place des lampadaires. Une lune sur le premier, un soleil sur le deuxième et une étoile sur le troisième.

Eh ! Je suis bien avancé maintenant ! C’est sûrement dans le message, caché au plus profond des mots. Alors attendez, que je réfléchisse… si je prends la lettre « d » et le « o » et puis le « h »… non, ça ne va pas ! Et si je prends tout simplement la première lettre de chaque phrase, ça fait… attendez… so… sol… sole… solei… plus un « L », ça fait « soleil » !

C’est le lampadaire « Soleil » !

« Allez, aboule, tu me veux quoi ? »

C’est quoi cette histoire ? Alors ! J’attaaaaaaaaaah…

Et je tombe, tombe, tombe, tombe, où, je ne sais pas mais je tombe, tombe, tombe, tom… ah non, tiens, je ne tombe plus !

Je suis debout dans une lumière aveuglante !… Non, pas si aveuglante que ça, finalement. Je vois un homme avec une longue barbe jaune fluo s’approcher et dire :

« Tu es maintenant diplômé : enquêteur-magicien avec pouvoir magique trop cool et super stylé de fou-malade ! Es-tu prêt à le devenir ?

- Et je pourrai diriger un vaisseau spatio-temporel ?

- Bien sûr, qu’est-ce que tu crois ?

- Et chanter à tue-tête sur la bosse centrale d’un chameau à trois bosses ?

- C’est fortement recommandé ! Alors tu acceptes ? Nous t’avons choisi car tu as un des pouvoirs les plus puissants du monde connu de la Terre-Carrée !

- La Terre-Carrée ?

- Une dimension parallèle où il y a des frigos buveurs d’encre réincarnés en tables coureuses de fond. Alors, tu acceptes ?

- Et comment !!!

- Parfait !

- Et tu remercieras le lampadaire de ma part ! »

Et là, je vois le vieux monsieur fondre en larmes !

« Mais pourquoi pleurez-vous ?

- Le lampadaire ! C’était moiiiiiiii ! »

 

FIN

Philyvain ou le chevalier aux pions - Par bouddhiste de quatre

Le 10/12/2023

02.2023

Le sujet était : vous envisagerez un échange de services entre deux personnages.

 

Il était une fois un courageux chevalier (un peu mais pas trop) qui combattait des dragons pour sauver des princesses. Ce chevalier : c’était moi.

Je dis bien « c’était » car je ne suis plus chevalier depuis presque trois milliards d’années. Je suis actuellement en train de subumbaler sur le « Vadrouilleur ». Un vaisseau spatial d’où ont débarqué sur Terre les soldats de ce moment historique mondialement connu : La grande Vadrouille. Mais je m’égare.

 

Un jour que je combattais un dragon rose à pois verts, je me suis dit que ce n’était pas une vie ça. Combattre des dragons d’accord, ça va une fois, ça occupe le temps libre mais après, ça devient lassant !

Une voix me distraya de mes pensées, c’était le dragon.

«  Eh ! Ho ! T’es pas à ce que tu fais ! Je suis en train de te rétamer ! Concentre-toi !

- Non !… J’en ai marre ! Je me barre. Salut !

- Salut ! Á la prochaine ! Tiens, je te donne mon numéro.

- Merci.

Et je rentrit chez moi (à moins que ce ne soit « je rentra »).

 

En entrant dans la cour de ma maison, je vis mon écuyer accourir.

« ‘jour, boss ! Vous avez une sale mine !

- Ouais ! J’en ai marre…

- Attendez voir. Je vais vous remonter le moral, vous allez avoir une de ces pêches ! Yark ! Yark ! Yark !

- Pourquoi vous me faites le rire sardonique, là ? Non ! Oulala ! Non ! J’ai pas confiance ! Je crois que j’ai moins confiance en vous qu’avec le dragon !

- Et vous avez raison ! Yark ! Yark ! Yark !

 

PAF !!!

 

Il m’a donné un de ces coups de pied au… voilà ! Ah ! Ça me l’a remonté, ce fichu moral !

Allez ! Hop ! J’ai remis mon armure et je suis allé le combattre (aux échecs, c’est plus prudent) ce dragon de mmm… Bon. Et j’ai gagné ! A plates coutures ! Échec et mat en trois coups !

Et je suis retournu chez moi (enfin, vous voyez ce que je veux dire).

Et là : je trouve mon écuyer qui pleure à chaudes larmes ! Alors je me suis dit : « Je vais moi aussi lui remonter le moral !

 

PAF !!!

 

Ça l’a assommé, alors je lui ai laissé un message :

 

La vengeance « redevabilitance » est un plat qui se mange froid

L’idée du siècle !

Le 10/12/2023

29.01.23

Ce texte est un cadeau de Philémon à son grand-père pour ses 75 ans, grand amateur de... caprice des dieux et un des initiateurs de l’éclairage de la Tour Eiffel par l’intérieur.

 

« Allô ! Allô ! Papy-Zoulou ! Répondez ! A vous !

- Tour de contrôle, je vous reçois 5 sur 5. Y a-t-il une piste de libre ?

- Une piste ? Vous vous y prenez tôt, dites donc ! Vous n’êtes même pas encore sur notre radar et pourtant, il est surpuissant !

- Mais voyons, je ne m’y prends pas trop tôt ! J’arrive dans 5 minutes et puis moi, je vous ai sur mon radar ! Le vôtre doit être en panne !

- Mais pas du tout ! On vient de recevoir un autre zinc !

- Eh ! Vous avez oublié d’allumer les lampes de vos pistes !

- Mais bien sûr que non ! Je les vois comme je vois que mon radar est vide !

- Mais… Je suis maintenant à moins d’un mille de vous.

- Mais pas du tout !!!

- Ecoutez, je sais où je suis, quand même ! Je suis à 0,2 miles de vous à une vitesse de 320 nœuds et à 62 000 pieds d’altitude. O.K. ?

- Non ! Pas O.K. du tout ! Vous débloquez, mec !

- Mais non, regardez, je vous fais des appels de phares, mais regardez, nom d’un chieeeeeeeeeeeeeen… Krachhhhhhhhhhhhhhh !...

- Allô !? Allô !!! »

Le contrôleur du ciel se retourna.

« Capitaine, capitaine !

- Quoi ? dit une grosse voix bourrue. Qu’est-ce qu’il y a encore ?

- Le zinc matri…

- On dit « avion » ! Pas « zinc » !

- Bon, alors l’avion matricule 2K708N3 a boumé et…

- On dit pas « boumer » ! On dit « exploser » !

- Bon, alors 2K708N3 a explosé et c’est le fourtième !

- Le quoi ?

- Le fourtième ! De l’anglais « four », qui veut dire « 4 » et du français « tième », qui veut dire… ben, « tième » !

- Vous viendrez me voir dans mon bureau cet après-mid… »

 

                             Tututututu !

                                       Tututututu !

 

« Capitaine ! On a sonné !

- J’ai entendu, « face de pingouin » !

- Capitaine ! Vous aviez dit que vous ne m’appelleriez plus « face de pingouin ! »

Mais le capitaine était déjà parti.

 

En descendant les escaliers, Guanimort, car c’est comme ça que le capitaine s’appelait, se dit :

« Ce doit être le journal qui arrive. Il arrive que plus en plus tôt, il est à peine 4 heures du mat’. Je crois que je vais aussi classer cette affaire « top-secr... »

 

Ses pensées furent interrompues par une femme qui montait à sa rencontre en hurlant. Elle tenait un rouleau de sacs-poubelle dans une main et un réveil-matin dans l’autre.

« Bonjour, sergent Mileeght !

- Salut, salut ! Au secours !

- Qu’est-ce qui se passe ?

- J’étais de garde dans le quart de 4 heures 50 et là, le journal arrive !

- Oui ! Et bien quoi ?

- Et bien, regardez vous-même ! »

Et elle lui tendit le journal.

« Pourquoi tenez-vous un rouleau de sacs-poubelle et un réveil-matin ?

- Je ne sais pas mais ça prouve que je suis très paniquée !!! »

 

Le journal se présentait ainsi : sur la une, il y avait :

 

Journal tour eiffel

Le capitaine resta bouche bée :

« Mais, mais, mais, mais, mais...c’est mon numéro que voilà !

- Oui ! On va être submergé d’appels !!! Oh là là là là... »

 

« Salut, c’est moi, Tchoupi, je marche vers l’école... »

 

« Qu’est-ce que c’est que ça ? Capitaine ?

- Euh… ma sonnerie de téléphone.

(…)

- Alors quoi ? Vous décrochez ?

- Bon. »

Et il décrocha.

« Allô ?

- Mettez le haut-parleur, capitaine ! » dit le sergent Mileeght. 

Le capitaine s’exécuta. Il entendit alors :

« Allô ? »

Et ce fut le drame :

«  Sergent ! Qu’est-ce que je dis ?!

- Mais je sais pas, moi ! Ecoutez-le d’abord !

- Oui, d’accord mais après ?

- Je sais pas, je vous dis ! Improvisez !

- Bon, allez, c’est parti, j’y vais, OK, allons-y, super, un petit effo…

- Alors quoi ! Allô, non mais allô, quoi ! Ah, tiens, y faudrait que j’la r’place, celle-là ! Vous vous grouillez de me répondre, oui ou m…

- OK ! OK ! Qu’est-ce que tu veux ma petite ?

- Je suis pas ta petite, espèce de pifgalette ! Et puis vous avez pas lu le journal ? T’es vraiment un pifgalette !

- Bon, bon ! Je t’écoute. Quelle est ton id…

- De quel droit tu me tutoies, pifgalette ? Hein ?!

- Hein ? Heu… Bon, quelle est VOTRE id…

- Bon alors : Tu-vas-chercher-des-esclaves-pifgalette-et-puis-tu-les-mets-sur-des-vélos-et-alors-y-font-de-l’-électricité-gratos-pour-faire-fonctionner-mieux-ces-pifgalette-de-projecteurs. T’as capté ? Pifgalette ?

- …

- Pff ! Quand tu auras retrouvé ta langue, ça sera trop tard, pifgalette ! »

 

CLIC

 

« Capitaine, je peux vous dire un truc ?

- Ouais ?

- C’est pas gagné ! »

 

« Salut, c’est... »

 

« Capitai…

- Oui c’est bon, je décroche !

- Allôw ?

- Oui ?

- Jew vienw pouw l’annonced : ilw fautw capturew lew suneil etw lew put souw the touw Eiwfel. Voilàw.

- Heu… je ne suis pas sûr que ça soit une bonne idée. »

- Dowmage ! Aw bientôw !

 

CLIC

 

« Capitaine ?

- Ouais ?

- C’est de pire en pire !

 

« Salut, c’est... »

 

« La ferme !!! Allô ?

- Hi, hi, hi ! Moi je sais ! Hi, hi, hi ! Y faut tout faire flamber ! Hi, hi, hi !

- Mais qui êtes-vous ?

- Hi, hi, je suis le pyromaniac ! Ha, ha, ha ! Oups, pardon, je me suis trompé : c’est « Hi, hi, hi », pas « Ha, ha, ha » ! »

 

CLIC

 

« Capitaine ?

- Aïe ! Aïe ! Aïe !

- Vous m’arrachez les mots de la bouche ! »

 

« Salut c’... »

 

« Encore ?

- Oui !

- Je suis obligé de décrocher ?

- Oui !

- Vous êtes sûre ?

- Oui !

- Bon ! Allô ?

- Ah ! Bonjour, monsieur. C’est bien ici que je dois m’adresser pour la petite annonce de la tour Eiffel ?

- …

- Et bien ? Vous avez perdu votre langue, mon bon monsieur ?

- Euh, ben, enfin, mais vous ne me traitez pas de pifgalette ?

- Mais non, enfin !

- Vous n’êtes ni esclavagiste, ni pyromane ?

- Bien sûr que non !

- Vous ne voulez pas décrocher le soleil ?

- Mais pas du tout ! J’ai eu une idée, voilà : un jour que je mangeais du Caprice des dieux, pour ne pas changer, je me suis dit que si les projecteurs ne marchaient pas du sol alors il fallait les mettre dans le ciel, mais je ne pense pas que ce soit non plus une bonne idée. Ce qu’il faut, c’est plus de lumière. Il faut construire une guirlande électrique géante et l’enrouler autour de la tour et là, on le verra, votre monument ! Alors ? Est-ce que mon idée vous plaît ?

- …

- Vous n’avez pas raccroché, quand même !?

- Non ! C’est, c’est… votre idée est formidable, géante, époustouflante ! Mais au fait, quel est votre nom ?

- Et bien, je m’appelle G. P. !

 

Texte anniv gerard

 

 

 

 

Règlement de compte

Le 29/01/2023

25.06.21

[Nous tenons juste à préciser que, sachant l'humour pince-sans-rire de Philémon,  le texte qui suit est à lire au second degré...]

Chère maîtresse,

je vous donne ma démission parce que, l'école, il y en a marre. Votre exercice, là, sur les contraires, et bien c'est trop facile ! Et puis, « synonyme », ça s'écrit : S.Y.N.O.N.Y.M.E, pas : S.S.I.N.N.A.U.N.I.M.M.E !

A mon avis, vous descendez du poisson rouge et du chien. Poisson rouge parce que la mémoire, oulala et chien parce que vous reniflez par terre quand votre stylo est tombé sous votre bureau.

Et puis c'est débile de mettre « E.N.T » à la 3ème personne du singulier.

Et quand vous m'avez mis un gros 20/20 sur le front*, c'était idiot !

Pas cordialement du tout,

Philémon

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Cher élève Philiman,

Ne démissionnez pas, je fait une remise à niveau !

Cordialement,

Maîtresse

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Maîtresse pas chère du tout,

C'est ce que vous m'avez dit en décembre* et nous sommes en

JUIN !!!

Philémon

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Cher Filomin,

C'est pas ma faute, c'est celle du programe scolair !

Maîtresse

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Fichue Maîtresse,

La ferme !!!

Philémon

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Filamine,

Ne soit pas grossié !

Maîtresse

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Maîtresse à la noix,

J'ai dit : la ferme !

P.S. : Philémon, ça s'écrit : P.H.I.L.E.M.O.N !

Philémon

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*Lire : « La feuille d'exercices »

*Encore : « La feuille d'exercices »

Les carrés fliukrch attaquent !

Le 28/01/2023

13-27.12.22

DRING ! DRING !

 

«  Tico, va ouvrir !

- Oui Maman ! » Et plus bas : « Je suis pas ta bonne !

- Je t’ai entendu, tu sais !

- Oups !

- T’as raison, ouais ! Allez, va ouvrir !

- Pffffffff ! »

 

Il ouvrit la porte :

« J’ai déjà donné ! »

Il allait la refermer quand sa mère intervint :

« Même si on a déjà donné, on veut savoir ce qui se passe. Et toi, sois poli !

- Moi ?! demanda le visiteur.

- Mais non ! Pas vous ! Lui !

- Moi ?! demanda Tico.

- Non, le Père Noël et peut-être même le Pape. Mais oui, toi, bougre d’andouille ! Bon alors ?

- Je suis chargé par Monsieur mon maître et Mademoiselle ma Maîtresse de vous remettre cette invitation.

- Oh super ! s’écria Tico en arrachant l’enveloppe des mains du porteur. C’est les cousins !

- Ce sont les cousins ! le rectifia sa mère en essayant de faire comprendre au porteur qu’elle se foutait royalement de la main tendue pour le pourboire.

- Maman, pour ce monsieur, tu pourrais donner un peu…

- Toi, ta !!!… bouche.

- Qu’a-t-il dit ? demanda le monsieur qui avait toujours la main tendue (parallèlement, la mère s’en foutait toujours royalement).

- Rien ! Mêlez-vous de vos oignons, vous ! Pourquoi vous êtes encore là ?! »

Et elle ferma la porte sans plus de cérémonie. Elle attendit quelques secondes puis elle la rouvrit pour laisser sortir les doigts du monsieur qui étaient restés dans le chambranle.

« Alors ? Qu’est-ce qu’y disent tes cousins ?

- Mes cousins, dit Tico en ouvrant l’enveloppe, se portent bien, nananananana, oh ! Ils m’invitent à passer une semaine dans leur… leur quoi ? Leur castèl ? »

Il le prononça avec un accent français impeccable. Sa mère le rattrapa :

« On dit « Cassôle » ! Tico ! dit-elle avec un accent de patois anglais très, très lointain.

- Alors ils m’invitent dans leur « cassôôôôle » ! Pour une semaine de vacances.

- Je vais t’appeler Ticôôôô ! pour la peine.

- Méchantaffreusevilainignoble !!! …Bon, alors, nanana… Aah ! Je pars demain ! Maman mes bagages ! Viteuviteuviteuviiiiite !!!!

 

Le lendemain, Tico partait pour le « cassôle » de ses cousins.

Tico était (presque) un garçon bien élevé qui vivait dans une famille (presque) bien élevée avec des frères (presque) bien élevés et des cousins (presque) bien élevés. Et ces cousins (presque) bien élevés l’invitaient dans leur château à la campagne. Il se situait presque en Suisse et presque en Allemagne (à la frontière, quoi !). D’ailleurs, le château appartenait à la famille PRAISK.

 

Tico sortit du train. Ses cousins devaient venir le chercher sur le quai. Mais sur celui-ci : personne ! Tout d’un coup, un vrombissement, un avion en rase-motte et deux parachutes.

 

« Les cousins ! s’écria Tico. Salut les gars !

- Salut Tico ! Content de te revoir !

- Ouais ! Allez, tchèk ! »

 

Un tchèk interminable était convenu avec les trois cousins. Après les formules de politesse, l’hélicoptère personnel des enfants PRAISK vint les chercher et ils s’envolèrent tous les quatre, avec le pilote, vers le château.

 

En survolant le château, Tico s’écria :

« Wâw ! Depuis ma dernière visite, vous avez aménagé quelques trucs !

- Oui. Nous avons agrandi le parc, nous avons relié les sept piscines rondes que nous avions pour faire un bassin à alvéoles, nous avons aménagé une petite piste d’avions et d’hélicoptères, nous avons construit une salle de cinéma, un terrain de tennis et un terrain multi-sports avec du faux gazon. Nous avons aussi construit un observatoire sur le toit du château et agrandi nos chambres d’une cinquantaine de m2. Notre table d’écoute téléphonique, nous l’avons aussi agrandie. Toute la région est maintenant sous surveillance ! Les parents ont dû faire la même chose que nous avec leur partie du château. »

 

Un sifflement d’admiration s’échappa des lèvres de Tico :

«  Et bah dis donc ! Et ça n’a pas coûté trop cher, tout ça ?

- A peine un milliard d’euros. Allez, descends de cet hélico étroit comme mon papa !

- Crétin, dit l’autre, notre père, il est énorme ! C’est pas une bonne comparaison ! »

L’autre garnement répondit :

« Viens dire bonjour à Grominet !

- Et qui est Grominet ?

- C’est notre léopard apprivoisé ! Groar

(Nous déclinons toute responsabilité auprès du lecteur sensible)

 

Tico recula d’un pas mais, trop tard. Le léopard lui sauta dessus et le renversa sur le dos comme un vulgaire tas de linge qu’on éparpille. Il approcha sa gueule pleine de grandes dents pointues et… lui fit un gros léchou sur le nez d’un air satisfait ! Puis il s’en alla manger ses croquettes goût « kébab à l’artichaut ».

 

Journal de Tico

1er jour : installation

Il m’arrive un truc bizarre : j’entends des voix ! J’étais en promenade avec Grominet dans le parc et là, venant de sous mes pieds, des cris ! Je baisse la tête, rien ! J’avance d’un pas et : BOUM ! Je tombe dans un trou ! Et quel trou ! Au moins 10m ! Et en bas, je sens que je vais avoir la surprise de ma vie. Après ma chute, je vois un tunnel qui part, j’ai un très bon sens de l’orientation, qui part vers le nord ou peut-être vers l’ouest, ou l’est, mais je suis quasiment sûr que c’était vers le sud. Donc, je prends ce couloir. On aurait dit un couloir de mine désaffectée. Au bout de cette galerie, il y avait une salle. A vue de nez, je dirais bien 20, 25m2. Et dans cette salle, attachés et bâillonnés, les cousins ! Alors que je venais de les quitter 5mn plus tôt ! Ils étaient à la piscine ! Je m’avance pour les libérer quand j’entends des voix. Vite, je vois un chariot sur des rails (les rails s’arrêtaient devant le mur des deux côtés de la salle). Bizarre…

PassageJe monte donc dans le chariot. Les voix se rapprochent, je me fais tout petit ! Il y a deux voix. Je vais retranscrire tout ce qu’elles disent :

+++++++++++++++

« Tu crois qu’ils ont été sages les deux gosses ?

- Ils ont intérêt à l’être! De toute façon, on les a saucissonnés ! »

+++++++++++++++

C’est des voix étranges et métalliques !

+++++++++++++++

« Alors, on les embarque ?

- Ouais ! Charge-les dans le chariot, mais assomme-les d’abord ! »

+++++++++++++++

J’entends deux coups sourds ! Une ombre au-dessus de ma tête ! Aïe, ils m’ont repér

 

Le journal de Tico s’arrête là. L’un des deux méchants venait de le lui arracher des mains. Et c’étaient bien des enfants !

Sans que Tico aie le temps de réagir, un des enfanst avait jeté les deux cousins dans le chariot, l’autre avait abaissé un levier qui sortait du mur et le wagonnet commença à rouler, de plus en plus vite vers la muraille.

Tico ferma les yeux en attendant le choc.

Il attendit cinq secondes.

Il attendit dix secondes. Quinze secondes. Toujours rien. Il ouvrit un œil, puis l’autre et regarda autour de lui.

Le chariot avait traversé le mur ! Le couloir qu’ils longeaient était éclairé de petites ampoules vertes encastrées dans le mur.

Le boyau était en pente douce, ce qui faisait avancer le wagon à une moyenne de 15km/h (retenez bien ce nombre, il vous servira sûrement quand vous vous réincarnerez en acarien. Si, si, c’est vrai !).

 

Un matelas vint stopper net la course du chariot (pas un matelot, forcément, on n’est pas sur un bateau, on est sur… vous verrez). Un carré à pattes de couleur fliukrch (si vous ne savez pas ce que c’est, cherchez, et si vous trouvez, envoyez-nous la définition).

Donc, un carré à pattes de couleur fliukrch saisit les trois garçons dont deux s’étaient réveillés (le troisième l’étant déjà, il ne put pas le faire). Trois tentacules suffirent à les coller au plafond, qui était d’ailleurs à peine à vingt centimètres au-dessus de leur tête (pas en-dessous, forcément !). Les vingt-sept tentacules restés libres appuyèrent sur diverses touches d’un panneau de contrôle, ce qui eut pour effet de faire sortir une cage du sol.

C’est alors que Tico et ses cousins se rendirent compte qu’ils étaient dans un vaisseau spatial et que le carré fliurkch était un extra-terrestre.

Il les enferma dans la cage et dit :

« Et voilà ! Le travail est bouclé ! Nous avons les spécimens intelligents de toutes les planètes habitées des 52 systèmes solaires et planétaires de la Fédération spatiale de « Delta 6 ». Les frérots, nous rentrons ! »

 

Un pan de mur s’effaça et les deux « frérots » débouchèrent dans la salle. C’était les hommes à la voix métallique ! Ils se plantèrent dans un triangle dessiné sur le sol et un rayon bcazij les arrosa de sa lumière (bcazij est une autre couleur spatiale). Ils se transformèrent en carré lwavur (y’a plein de couleurs bizarres dans ce bouquin !).

 

Tico les regarda, il regarda ses cousins, puis les carrés, puis ses cousins, et décida de passer à l’acte ! Mais il n’en eut pas le loisir car le léopard surgit au moment où le carré fliukrch se demandait s’il allait passer par la strato-route ou par les routes solaires.

Grominet sauta sur le panneau de contrôle et piétina, piétina et repiétina jusqu’à ce que la cage, après être passée de l’état liquide à l’état gazeux s’ouvre enfin. Tico et ses cousins coururent de toute la vitesse de leur corps intelligent. Grominet surveillait leurs arrières ! Après un dédale de couloirs, ils sortirent enfin à l’air libre ! Et là, ils eurent un choc ! Les deux cousins étaient en train de se prélasser dans la piscine ! C’était impossible puisqu’ils venaient de sorrtir du vaisseau et étaient à côté de lui ! Il n’avait pas quatre cousins quand même ! Si ?

 

Les cousins de la piscine sortirent, s’ébrouèrent comme des chiens et se jetèrent sur Tico et les cousins du chariot ! Ce fut une belle bataille ! Tico, qui faisait du judo, assomma tout le monde sans faire de différence, attacha tout le monde sans faire de différence et réveilla tout le monde à coups de grandes baffes sans faire de différence.

Il les aligna contre un mur du château. Il dit :

« Amutm lboé ! »

Et deux des cousins répondirent :

« Non ! C’est pas vrai ! 

- On est pas ce que tu dis ! »

Et les deux autres répondirent :

« Comment ?

- Qu’est-ce qu’il a dit ? »

 

Tico avait trouvé les extra-terrestres. C’était les deux premiers cousins ! Il libéra donc les deux vrais et réassomma les faux.

C’est alors qu’il y eut un grand tremblement de terre et le vaisseau spatial sortit de sa cachette. Il se plaça au-dessus des extra-terrestres et le rayon bcazij se ralluma. Les faux cousins furent téléportés au bord de l’astronef !

Puis le vaisseau s’envola à grande vitesse vers l’espace. Tico s’écria :

« Bon débarras ! »

 

 

FIN

SOS B612 !

Le 25/01/2023

26-27.11.22

Le sujet était : "Sur le thème "Le voyage et l'aventure : pourquoi aller vers l'inconnu ?", invente un texte à partir des formes verbales et des connecteurs temporels suivants. Tu devras utiliser au moins une fois chacun des mots. Formes verbales : navigue - dorment - a quitté - exploreront - débarqueront - décide - est - a traversé - rapporteront - rentreront. Connecteurs temporels : l'année dernière - demain - ce soir - pendant trois mois - au début de l'année prochaine."

 

- Bonjour mon général.

- Bonjour sergent. Si je vous ai fait venir dans mon bureau, alors que je ne le fais jamais avec de simples sergents, c’est que vous n’êtes plus sergent.

- Comment ça mon général ?

- Et bien, sergent, je… enfin, pas sergent mais voilà, quoi, vous êtes maintenant capitaine du vaisseau spatial « Explorator » à compter de ce soir.

- Super mon général !

- L’année dernière, la base de données centrale informatique de Perpette-les-zoix a enregistré un message provenant d’un ordinateur non-terrien. Cette base de données informatique n’enregistre que le langage binaire, normalement. Le message n’était ni en langage binaire, ni dans une autre langue connue.

- D’ac mon général.

- Depuis, nos chercheurs ont trouvé l’origine du message. Il vient d’un astéroïde, B612, qu’y s’appelle, l’astéroïde. D’ailleurs c’est plutôt une micro planète à ce qu’il paraît. Mais je vois bien que vous ne me croyez pas. Vous vous dites : « Celui-là, il est planète ! Arf ! Arf ! Arf ! Planète, pas nette ! Arf ! Arf ! Arf !

- Généraaaaal !

- Mais je vous ai pas dit : cette planète, il faut y faire attention !

- Oh ! Pourquoi mon général ?

- Parce que c’est la planète à Rium ! Arf ! Arf ! Arf ! Planète à Rium, planétarium ! Arf ! Arf ! Arf !

- Généraaaaaaaaal !

- Faites pas attention. Moi, j’ai les idées qui planent dans l’espace. Oh ! Il y en a une qui s’est posée sur un astéroïde ! C’est une astéroïdée ! Arf ! Arf ! Arf ! Astéroïde, idée, astéroïdée ! Arf! Arf ! Arf !

- Gé ! Né ! Ra ! Leeeeeee !!!

- Ouais ! Ouais ! C’est bon ! Pas la peine de crier ! Je sais que c’est nullissime ! Vous partez demain pour trois mois de navigation. Vous arriverez, vous et votre équipage, à peu près début année prochaine.

- Vous n’avez pas de date précise, général ?

- 7 Janvier 3011.

- Merci général.

- Des questions ?

- Est-ce que je peux rencontrer les officiers avant le grand voyage ?

- Non, ils dorment. D’autres questions ?

- …

- Bien. Je vous explique votre mission : …

- Pas la peine, général. Je crois que je la connais déjà : nous explorerons l’espace, nous débarquerons sur l’astéroïde, nous trouverons l’origine du message, je vous ferai un rapport détaillé, nous rentrerons et rapporterons des échantillons de sol. La routine, quoi !

- Vous savez tout. Allez, go ! Vous avez 9 heures, 37 minutes et 45 secondes pour vous préparer ! 43 secondes, 42, 41, 40, 39, 38, 37, 36, 35…

Le nouveau capitaine détala. Il s’appelait Bob Narix, avait trente-sept ans et était maintenant capitaine du navire « Eplorator » (mais ça, on le savait déjà).

Après avoir transporté ses affaires dans sa cabine à bord de l’« Explorator », il remarqua que les officiers étaient réveillés. Il les rassembla dans la cabine de pilotage.

Mais, tout d’un coup :

- Woin ! Woin ! Le compte à rebours est déclenché ! Décollage moins trois minutes ! 2 minutes 59 ! 2 minutes 58 ! 2 minutes 57 !…

- JE VAIS VOUS DIRE MA RÈGLE D’OR ! cria-t-il pour couvrir le bruit. JE DÉCIDE VOUS FAITES !!!

- ET SI ON VEUT PAS ? dit un officier.

- VOUS PRENEZ UNE BAFFE !

- AH OUAIS ?!

- OUAIS !

Chlac 1

- Ouillouillouille !

- TOUT LE MONDE À SON POSTE !

Decollage

Journal de bord du capitaine

Coefficient espace-temps 2 357.1

Le vaisseau navigue bien. Il a quitté la Terre sans histoire. Nous avons eu une avarie au réacteur C8 quand il a traversé l’atmosphère. B612 se déplace vers nous à grande vitesse. Nous n’y serons pas dans trois mois mais dans quelques heures.

Quelques heures plus tard.

- Capitaine !

- Oui ?

- La planète est en vue mais il y a un petit problème. Elle a un noyau interne extrêmement froid et le noyau externe extrêmement chaud, ce qui fait une densité de l’air très forte mais respirable sans atmosphère. Et puis, elle fait même pas deux mètres de diamètre. Si on prend les échantillons de sol, la planète va exploser car il n’y a qu’un millimètre jusqu’au noyau externe. D’ailleurs le noyau est plutôt délavé, parce que le noyau est (x)terne ! Ah ! Ah ! Ah !

Chlac 2

- Ailleuuuu !

- On va la mettre dans le hangar. On la ramène sur Terre. Mais au fait d’où il venait ce message ?

- Et bien dessus, il y a une rose. Sur la planète, pas sur le message, je veux dire.

- Une rose ?!

- Oui, une rose ! Je vais vous la montrer.

En approchant du hangar, Narix entendit des cris :

- Où est le capitaine ?! Je veux voir le capitaine !

- C’est moi ! dit Narix en entrant dans le hangar.

- Ah ! Tout de même ! Nan mais quand même ! Je vais vous raconter : moi, je me préparais à éclore, oh, j’étais très belle ! Donc, j’éclos et un petit bonhomme s’approche et là : tchac ! Il m’enferme sous un globe de verre et me cache derrière un paravent pour que personne d’autre que lui ne me voie. Et puis là, il s’autoproclame « empereur de la planète aux trois volcans » ! Mais ça, c’est un peu long alors : « Petit Prince » ! Nan mais pour qui y s’prend, çui-là ?! Et puis y part. Il me laisse toute seule ! Mais j’ai appris qu’il était mort par l’intermédiaire d’un roi qui le tient d’un vaniteux qui lui-même le tient d’un buveur qui boit pour oublier qu’il a honte de boire qui, lui, le tient d’un businessman qui le tient d’un allumeur de réverbère qui l’a appris par un géographe qui le tient d’un renard qui le tient d’un aiguilleur qui le tient d’un vendeur de pilules contre la soif qui le tient d’un serpent. C’est le serpent qui l’a mordu ! Et moi, j’étais toute seule ! Bweuuuuuuheuuuuheuuuu !

- Mais faites-la taire ! Et puis, ne t’inquiète pas, on te ramène sur Terre. Le général a des roses. On te mettra avec elles !

- Super ! Allez ! Cap sur la Terre !

- Ouais ! Cap sur la Terre ! dit un officier.

Chlac 3


- JE décide, VOUS faites !

Planete

Introduction à un projet de pièce de théâtre à partir du Petit Prince

Le 24/01/2023

Début 2022 Depuis ma rencontre avec le Petit Prince, j'ai relu « Histoires vécues » et j'ai rajouté une plume à mon dessin n°1. C'est pour faire plaisir aux grandes personnes. Elles disent que c'est un chapeau, alors c'est un chapeau. Mais là, j'ai été très déçu par les grandes personnes. Je faisais l'expérience de mon dessin n°1 et elles répondaient : « C'est un boa à plume qui digère un éléphant. » Mais je ne vous ai pas dit ! Le Petit Prince, je l'ai revu en rêve ! Il m'a expliqué qu'il avait exploré d'autres planètes. J'ai connu le petit prince quand je me suis écrasé dans le désert, à 1000 milles de toute terre habitée. Avant d'arriver sur la Terre, il avait visité plusieurs planètes, comme celle du roi ou celle de l'allumeur de réverbère. Un jour, il se posa sur une planète, une grosse planète ! La Terre. Sur la Terre, il rencontra d'abord un serpent, puis une fleur. Il trouva une route, et les routes vont toutes chez les Hommes ! Il apprivoisa un renard qui lui révéla un secret. Il rencontra aussi un aiguilleur, un marchand de pilules et des roses. J'ai écrit un livre sur le petit prince mais les grandes personnes n'ont pas voulu me croire. Je disais donc que le petit Prince m'était venu en rêve. Je vais vous raconter ce qu'il m'a raconté...

Le Petit Ogret (Avec le Petit Ogret dans le rôle du Petit Ogret)

Le 24/01/2023

14.02.22

Un couple de mangeurs d'enfants et leur fils étaient très pauvres.

Le mangeur d'enfants dit un jour à sa femme :

« Nous n'avons plus de marmot à manger. Demain, nous irons perdre notre enfant et les cactus dans la forêt des sales gosses. »

Le Petit Ogret, qui avait tout entendu, essaya de sortir par la porte d'entrée mais elle était fermée. Il passa alors par le vasistas et se retrouva sur le toit. Il se mit à cheval sur l'arête de celui-ci.

C'était une position assez inconfortable alors il se laissa glisser sur les tuiles vertes. Il atterrit juste sur le cactus apprivoisé de la famille.

« Mon petit Médor, j'ai une question. Où est Médacor ? »

« Je suis là ! Coucou !

- Tu dors pas ? demanda Médor ?

- Ben non… répondit Médacor.

- Mais dors !!!

- Mais d'accord !!! »

Et les deux cactus s'endormirent.

« Mais réveillez-vous ! Vous n'allez pas commencer !? Allez, venez. »

Après avoir ramassé de gros cailloux noirs, le Petit Ogret se projeta à nouveau sur le toit par un prout.

Prr 1D'accord, cela sentait mauvais mais il était à nouveau dans sa chambre.

Le lendemain, quand ils allèrent faire une promenade dans la forêt des sales gosses, le Petit Ogret déposa tout les 10 mètres un gros caillou noir. De ce fait, les cactus et lui purent revenir à la maison sans problème !

Le couple fut quand même content de les revoir !

Mais les enfants vinrent de nouveau à manquer.

Le couple décida, illico presto, de perdre les cactus et leur fils dans la forêt des sales gosses. Le Petit Ogret avait tout entendu mais cette fois, le vasistas était fermé !

Le lendemain, la famille partagea son dernier enfant.

Le Petit Ogret reçu les doigts.

Il eut alors une idée.

Le long du chemin, il sema, non pas des cailloux, mais des doigts !

Bien sûr, quand il voulut revenir à la maison, il vit que les rapaces avaient tout mangé. C'était à prévoir !

Il se dirigea donc vers n'importe où. Il fit un prout :

Prr 2

qui le mena au sommet d'un arbre.

SautLà, il vit un autre arbre. Plus grand que

celui sur lequel il était. Il sauta donc dessus.

(Sauter, façon de parler!)

Prr 3

 

 

 

Là, il vit, je crois que je me répète, un grand château !

Il descendit de son arbre et frappa à la grande porte. Une femme lui ouvrit.

« J'ai faim et froid, pouvez-vous nous héberger, mes cactus et moi ? 

- Hélas, dit elle, vous êtes dans la maison d'un Petit Poucet. Si vous le voyez, vous le mangerez tout cru ! Vite cachez-vous, je l'entends arriver ! »

En effet, le Petit Poucet arrivait. Il dit en tremblant :

« Ça… Ça sent l'o, l'o, l'ogre pa, par ici !

- Mais non, répondit sa femme.

- S, s, si ! Il me mangera demain ! Je le sens !

- Bon, d'accord » dit le Petit Ogret, en se résignant. Il sortit de sa cachette.

Le Petit Poucet avait 1 fille et 2 plantes carnivores.

Dans la chambre, il y avait 2 lits. Un pour la fille du Petit Poucet et un pour le Petit Ogret, Médor et Médacor.

Le Petit Poucet n'était pas du genre à se faire manger comme ça ! Il prit un grand couteau à la cuisine, entra dans la chambre, tâta la tête de chacun des enfants et coupa la gorge de celui qu'il croyait être le Petit Ogret !

Mais le Petit Ogret avait tout prévu ! Il avait échangé son bonnet en peau d'élève de CP contre le bonnet de nuit de la fille du Petit Poucet.

Le Petit Poucet avait donc égorgé sa propre fille. Il se pencha ensuite sur l'autre personnage, qu'il croyait être sa fille mais qui était en fait le Petit Ogret, et voulut l'embrasser.

Le Petit Ogret se jeta sur lui et :

Miam 1

il le dévora !

Il fit pareil avec la femme :

Miam 2

Puis il alla dans le coffre-fort du Petit Poucet et prit toutes ses richesses ainsi que les mocassins de 7km.

Avec ça, il retrouva bien vite sa maison et avec les richesses, ils purent manger à leur faim !

Pourtant, il manquait quelque chose… mais quoi ?

Tout d'un coup, le Petit Ogret s'écria :

« Médor et Médacor ! Je les ai oubliés là-bas ! »

 

Fin

Grabuge au collège écolo !

Le 24/01/2023

01.04.22

Le sujet était : "Vous êtes en l'an 2100 et c'est le jour de la rentrée. Elle promet d'être bien différente des précédentes car vous découvrez un collège d'un nouveau genre : un collège à la pointe de l'écologie. A la fin de la journée, vous racontez votre journée à vos parents. Puis, dans un dernier paragraphe, vous vous demanderez si ce collège est le collège idéal".

 

« Maman, Maman ! Ce sera ce collège-là ? 

- Non, mon chéri, c'est hors de question ! Regarde-moi ce dépotoir ! La chaise volante a un pied cassé ! Et regarde la fumée que ça dégage ! Non, non et non, tu n'iras pas dans ce collège ! »

Ma mère et moi étions en train de visiter un collège pour mon inscription mais cet endroit était d'une saleté incroyable.

Ma mère sortit en courant en me traînant par le bras.

« Maman, il ne reste plus qu'une semaine avant la rentrée des classes. Est-ce que je vais la louper ? demandai-je.

- Non , on va bien trouver quelque chose... ou pas ! »

Le « ou pas », ma mère ne l'avait pas dit, elle l'avait pensé.

J'avais emporté avec moi mon « télépathe 3000 » qui peut même lire la pensée des Dino : Groaaaa ! Ah, mais non, miam, je ne suis pas gros, sale dino ! Télépathe 3000, du cerveau-cerveau sans fil ! (C'est la pub).

Maman me déposa à la maison car il était déjà tard. Il restait 1 collège sur la liste. Elle s'y rendit.

Le lendemain, quand la machine à hibernation me réveilla à exactement 8 heures 15 minutes 50 secondes, 5 dixièmes, 5 centièmes, 3 millièmes, 9 dix millièmes, 2 cent millièmes et après j'ai la flemme d'écrire, ma mère m'appela dans le salon. Je m'assis sur le canapé magnétique et elle me dit :

« J'ai trouvé un collège. Il est vraiment dans l'écologie ! Il interdit les téléphones à nuclénergie. Seuls les téléphones plasma à énergie sableuse sont autorisés.

- Super, c'est celui que j'ai !

- Et puis vous allez faire plein de trucs écolo.

- Youpi !!! »

Le soir du premier jour, je contai à ma mère mes aventures de la journée.

« Matin, 1ère heure de cours. C'est du français.

Le EPC (écran à professeurs de cours) s'alluma et le cours commença.

Le prof était en train de nous expliquer le « Présent de l'écologie » quand le directeur (il a une grosse tête!) se matérialisa devant nous. Il nous dit :

« Je rrreviens d'oune voyage temporrrrel ! Vou la polloution qu'il y a en 2212, je me souis dit que l'on allait tester oune nouvelle machine anti-polloution. »

Il regarda a montre et dit :

« La constrrrouction de la machine est bientôt terrrminée !

Il était tout excité.

La machine tomba de… heu, ben… enfin voilà, quoi ! Elle tomba de la téléporteuse de l'ECC (entreprise de construction du collège).

Le directeur (celui qui a une grosse tête), nous dit :

« Je vous laisse l'essayer ! »

Et il se dématérialisa. Je remarquai alors que cette dématérialisation ne dégageait pas de radiation à électrons solaires instantanés. C'est bien, parce que premièrement, c'est écolo et deuxièmement, je suis allergique.

La machine était assez grande, vue de face. Je fis le tour et je découvris que la chose était plate ! Elle était aussi fine qu'une feuille ! Du côté, on de la voyait plus !

Le directeur avait laissé une télécommande en suspension dans l'air. Je la pris et appuyai sur le premier bouton. La machine alla se cogner contre un mur.

2ème bouton : La machine alla ramasser un papier qui traînait.

3ème bouton : La machine se mit à manger des élèves et à les transformer en graines !

Il a encore fallu que je sauve la situation !

Je cassai la télécommande et la machine s'arrêta. Je pris les graines, les plantai dans la terre fertile à nutrition bio-naturelle et les élèves repoussèrent bien vite !

Ce fut la fin de la journée.

Ce n'est pas le collège idéal mais je veux rester car il y aura beaucoup de rigolade !

 

College

 

Une sorcière au collège !

Le 22/01/2023

06.22

Le sujet était : "Tu soupçonnes un de tes professeurs d'être un sorcier ou une sorcière. Raconte de quelle manière tu as fait cette découverte. Décris son physique, sa démarche, ses vêtements... Mets en valeur les émotionss que tu as ressenties quand tes soupçons se sont confirmés. Et dis comment tu t'es sorti de ce mauvais pas. Tu feras au moins trois paragraphes. Ton récit est écrit à la première personne du singulier."

 

Aujourd'hui, la prof d'anglais était absente. Nous avons eu une remplaçante. Elle était habillée d'une robe noire et d'un chapeau de même couleur. Ce chapeau était drôlement pointu !

Nous avions anglais en première heure de cours. La remplaçante entra mais nous crûmes que c'était la femme de ménage car elle avait un balai sous le bras. J'ai alors chuchoté à l'oreille de mon voisin :

« Tu crois que c'est une sorcière ? »

J'entendis alors une voix derrière moi :

« Alors, on discute ? »

C'était la nouvelle prof ! Elle s'était déplacée extrêmement vite !

Aucun autre incident pendant les cours.

Ce soir-là, je crois avoir vu la prof s'envoler sur un balai mais je ne suis pas sûr.

Le lendemain, mes soupçons se confirmèrent. La nouvelle est bien une sorcière.

Etoile 

J'ai découvert une étoile satanique sur le mur de l'école, dessinée à la craie rouge. La craie, je l'ai vue dépasser de la poche de la prof.

 

Sorciere

La prof surveillait la récré quand elle s'arrêta et fixa un angle de la cour. Il y avait une bagarre. Je suivis alors son regard. Je tournai la tête de sorte que je ne voyais ni la bagarre, ni la sorcière. Je continuai à tourner la tête et la bagarre entra dans mon champ de vision. La sorcière était déjà là ! J'étais adossé contre un mur, elle ne pouvait être passée derrière moi. Par où était-elle passée ?

 

Je l'ai vue dans un couloir. Elle chantonnait :

Notes sorciere

Elle dansait aussi. Je ne sais si c'est un effet de mon imagination mais je crois que ses pieds ne touchaient pas le sol !

FioleLe soir, il y avait beaucoup de monde dans la rue de l'école. La sorcière repartit à pieds. Je la suivis jusqu'à chez elle.

Je regardai par la fenêtre.

J'avais peur, affreusement peur. Si la sorcière me voyait, j'étais cuit ! Fichu, le Philémon !

A l'intérieur, tout était noir. Quand mes yeux s'habituèrent à la pénombre, je distinguai la sorcière mettant des ingrédients bizarres de toutes les couleurs dans un chaudron. De toutes les couleurs et aussi de toutes les odeurs car je venais de remarquer que ça sentait le… heu… ça sentait le rat crevé au camembert qui coule ajouté à des huîtres pas fraîches à l'ail.

ChaudronEn bas du mur, il y avait un soupirail ouvert. Je me mis à quatre pattes et passai par l'ouverture. Je tombai sur un tas de charbon. Mais, le charbon remuait ! C'était des araignées ! Et grosses, en plus !!!

Elles s'avançaient vers moi d'un air menaçant ! Je me ruai alors vers la porte. C'était une grosse porte en métal avec des gros clous un peu partout. Je tournai la poignée et poussai de toutes mes forces ! La porte ne bougea pas d'un millimètre. Je me retournai et vis les bêtes qui se rapprochaient de plus en plus ! J'entendis alors la porte grincer derrière moi. Une voix dit :

« Couché !!! »

Et les araignées se remirent en tas à l'autre bout de la pièce. En me retournant, je vis la sorcière ! Cette fois, c'en était trop. Je m'évanouis.

Je crois que je restai seulement quelques minutes évanoui. Ce que je sais, c'est que je me réveillai ficelé comme un rôti de porc prêt à mettre au four ! J'étais allongé sur une espèce de crocodile-canapé. Ce truc remua légèrement, ce qui me renversa sur le côté. Je vis que la sorcière était assise devant son chaudron et me tournait le dos. J'avais quelques vieux morceaux de biscuit dans ma poche. Je les plaçai sur les liens et le crocodile fit

Clacavec sa grande bouche pleine de grandes dents. En même temps, il avait tranché mes liens. Je m'avançai discrètement vers la sorcière en attrapant au passage une fiole sur laquelle il y avait une écriture bizarre :

SignesJe la balançai alors à la tête de la sorcière ! Elle se cassa sur sa tête ! La sorcière se liquéfia littéralement ! Toutes les choses qu'il y avait dans la maison et que la sorcière avait apportées disparurent. Il ne resta qu'un chaudron sentant vaguement le poisson pourri. La sorcière avait remporté son secret avec elle ! Depuis, il n'y a plus une seule araignée dans la cave !

 

FIN

Monstrueusement chou !

Le 20/01/2023

03.03.2022

Le sujet était : "En une vingtaine de lignes, vous raconterez votre rencontre, avec un monstre, dans un rêve. Vous ferz trois paragraphes que vous matérialiserez par des alinéas. Dasn le premier, vous ferez la description physique du monstre ; dans le deuxième, vous décrirez son caractère (est-il gentil ? méchant ? drôle ? cruel ? généreux ? avare ? timide ? etc.). Et enfin, dans un troisième paragraphe, vous inventerez une aventure vécue avec le monstre.

 

Cette nuit, j'ai fait un drôle de rêve J'ai fait la rencontre d'un monstre ! Nous avons vécu une aventure très attrayante, c'est le cas de le dire ! Ce monstre était comme cela :

Il ressemblait à un ordinateur. Il avait une tête plate et carrée d 'où sortaient des yeux comme des petites flèches. Sur son ventre, on voyait des gros boutons noirs avec une petite tache au milieu. Il n'avait qu'un pied sur lequel on voyait un drôle de signe :

BoutonIl n'avait pas de bras ni de bouche. Ses cheveux, ses cheveux, et bien, il n'en avait pas non plus.

Il était plutôt gentil mais très cruel. Il était d'un caractère soupçonneux et voyait tout le monde comme une menace. Il tuait pour un rien. C'était un monstre monstrueux.

Je m'étais endormi dans mon lit, comme d'habitude et, comme d'habitude, je commençai à rêver. Je mangeais un gigantesque chou à la crème quand cette espèce d'ordi arriva et me chipa mon gâteau ! Je voulus me fâcher mais il me devança et me cria à la figure :

« T'es une menace ou t'es pas une menace ?! 

- Hou ! Quelle vilaine phrase ! Il faut dire : Es-tu une menace ou n'es-tu pas une menace ? »

Il me cria encore plus fort :

« Mais réponds !! M… Pardon.

- Pour ce chou à la crème, je suis une très grande menace mais pour toi, je ne pense pas. »

Il se radoucit.

« Bon, alors ça va.

- Pourrais-je vous appeler « Ordi » ?

- Ah non, je suis désolé, moi c'est « Tèl » ! »

Nous étions comme cela à discuter quand nous fûmes attirés par un frigo géant !

« C'est une menace… » me murmura Tèl.

Je m'écriai :

« Mais qu'est-ce que tu fais, sale frigo ?!

- Oups, dit-il, je me suis trompé. Je suis un aimant à choux à la crème géants. Regardez ! »

Il s'ouvrit et je vis, mon rêve, des milliers de choux à la crème !!!

« Tu peux en prendre quelques-uns, si tu le désires. »

J'entrai pendant que le monstre restait dehors.

Soudain, la porte se referma et je me retrouvai prisonnier du frigo.

J'entendis la voix du monstre qui criait :

« J'avais bien dit que c'était une menace ! Je l'avais bien dit !! »

Je sortis alors mon lance-choux à la crème, on est bien dans un rêve, non ? Je le chargeai à ras-bord et…

Chplotch…je commençai à mitrailler le frigo de l'intérieur.

Il se mit à rire, à rire !

- Hi, hi, d'accord, ho, ho, je te relâche, ha, ha !!

Et il rouvrit sa porte. Je sortis en courant mais je ne remarquai pas que j'étais tout en haut et je

          Tombai

Je me réveillai en sursaut dans mon lit et je vis, juste à côté de moi, une petite figurine en forme de frigo et, collé dessus, un petit chou à la crème.

 

Frigo

Ce matin

Le 20/01/2023

12.05.22

Le sujet était : "Ecrivez une page de votre journal intime. Vous ferez part d'une journée de votre choix, au collège; vous préciserez la date, les circonstances dans lesquelles vous écrivez (moment, cadre...); vous développerez votre texte en employant des phrases complexes où les propositions seront reliées par juxtaposition ou coordination."

 

DateCe matin, je me suis levé de bonne heure (10h45) et je suis allé déjeuner. Mon père est arrivé, je l'ai traité d'idiot et il m'a donné un bonbon. Puis je suis allé m'habiller dans ma chambre. Je suis allé au bord de la piscine et j'ai fait un beau plongeon ! Mais j'ai oublié de me déshabiller alors j'étais tout mouillé. Je suis rentré prendre une casquette et des lunettes de soleil car je suis allé me promener, il faisait très beau.

Vers midi, je suis allé me préparer pour aller au collège. J'ai fait mes devoirs puis mon cartable et enfin j'ai fait une petite sieste en compagnie de ma peluche préférée.

Au réveil, je suis allé au collège pour voir si le tableau était toujours en place. Il y était alors je me suis assis à ma place et le cours a commencé. C'est alors que je me suis dit : pourquoi rester dedans quand il fait beau dehors ?

Je suis donc rentré chez moi et je me suis couché. Là, je suis dans ma chambre et je suis somnambule. Oh, ma crise de somnambulisme est finie !

Alors je dis vite à

  Demain

 

Testament De Philémon (003)

Le 19/01/2023

12.21

Je, soussigné Philémon, lègue tous mes biens à mon frère Valentin. S'il venait à mourir, mes biens reviendraient à la A.E.B. (Aide aux Espions Blessés). J'ai moi-même été agent secret. Mon nom de code était « 003 ». La plus bête de mes missions, je vais vous la raconter :

 

J'étais dans mon bain, et, comme par hasard, le téléphone sonna. Je sortis de ma baignoire, et, vivement, je pris une serviette, sortis et me mis à courir dans le couloir. Je trébuchai dans l'escalier et m'étalai en bas de tout mon long. Je me relevai péniblement, me traînai jusqu'au téléphone et décrochai. Je dis :

- Allô ?

- Les carottes sont dans la casserole !

- Oui, les carottes sont cuites ! répondis-je instantanément.

- Bon mot de passe ! C'est le chef du S.N.S.A.S.* à l'appareil ! 003, je vais vous confier une mission dangereuse. Il s'agit d'un complot contre le président et contre la France. A partir de maintenant, tout de suite, là, ici, c'est votre affaire !

Clic

- Me vla bien ! pensai-je.

Le lendemain, je me rendais à l'Elysée.

Cette fois-là, j'eus de la chance, mon pneu creva juste devant le garagiste ! Il me le changea vite. Je repartis quand, BOUM !, le palais sauta à l'instant même où je commençais à l'apercevoir ! Je restai bouche-bée quelques instants puis m'élançai vers le palais.

Le sous-sol était encore intact. Je le visitai, par acquit de conscience, et je trouvai une porte fermée. Elle était en métal avec de gros clous et un énorme verrou. J'ouvris cette porte et je trouvai :

Le president

Ils avaient été bêtes, ces bandits, on le sut après en les capturant, en train de s'enfuir par le souterrain découvert par mon collègue Lastan*, ils avaient mis une bombe sous le bureau du chef d’État, mais comme il l'avait découverte, les criminels l'avaient enfermé dans le coffre-fort super blindé. Bien sûr, il avait résisté à l'explosion. Alors, le président, calme et détendu, avait commencé à se peigner en se regardant dans un lingot d'or bien lustré !

Un bandit,

C est tres bete

 

 

 

*Service National des Supers Agents Secrets

*Voir : Président en délire (Lastan et Garatino)

Enigme à résoudre : Le mystère des Saramont

Le 23/01/2022

M. Saramont a été tué dans son lit d'une balle dans la tête. Les voisins n'ont rien entendu. 

On a retrouvé le pistolet par terre à côté du lit. 

On soupçonnait la femme, Mme Justine Saramont à cause de l'héritage mais on l'a retrouvée morte d'un coup de couteau dans la gorge.

Les corps n'ont pas encore été analysés.

Le pistolet a encore ses six balles et le couteau est à la police scientifique pour le sang qu'il y a dessus. On aura les résultats après-demain.                                                   

Il y a trois voisins : la concierge en-dessous, au-dessus un gros dormeur et à droite un batteur qui s'intéresse aux frelons. 

Ils ont tous un alibi : 
Le dormeur : « Je dormais. »
La concierge : « Je surveillais l'entrée. »
Le batteur : « J'inventais des accords. »
                                                                                                               
Le mystère reste entier.    

                                                                                                

M saramontMme saramont

 

                                             

 

Simon Saramont                 

    Justine Saramont

                                  

Couteau  Pistolet 1couteau du crime                                                                 pistolet du crime

 

 

la concierge                                               le dormeur                                                         le batteur

Consierge

BatteurDormeur

 

 

 

Solution :

Le faux batteur est le coupable car il n'y a pas d'accord sur une batterie. Il a mis au point un poison avec ses frelons et l'a testé sur les Saramont. La première piqûre sur le front était ratée car elle a laissé une trace alors il a mis un pistolet. La même chose pour la femme mais c'est un couteau qu'il a laissé.

Bravo, le mystère des Saramont est résolu !

5 questions à poser à son papa

Le 28/08/2021

17.06.21

13 mai 2021 - Devoirs : 5 questions à poser à son papa*

1 - Pourquoi les mouches volent-elles en rond ?

Si elles volaient en ligne droite, elles se cogneraient contre les murs.

2 – Pourquoi les chaises ont-elles été inventées ?

On en avait ras-le-bol de s'asseoir par terre.

3 – Pourquoi les fours chauffent-ils ?

S'ils refroidissaient, on appellerait ça « FRIGO ».

4 – Pourquoi écrit-on noir sur blanc ?

Si c'était noir sur noir, on verrait rien.

5 – Pourquoi doit-on manger ?

Parce qu'on a faim ! Tiens !

 

 

*Ce n'est pas une instruction, c'est le titre choisi par Philémon lui-même pour son texte

 

Extrait de mon journal intime 3

Le 28/08/2021

17.06.21

Extrait de mon journal intime

2/01/2022 Ma vache est montée en haut de la tour Eiffel et pouvait plus redescendre.*

5/01/2022 J'ai battu mon record de rallye écriture : « L'idiot, c'est moi. » en 1mn 34s.

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*Voir « Filégaro New »

Histoire de sac poubelle

Le 28/08/2021

17.06.21

Histoire de sac poubelle

Il était une fois un roi qui avait une fille. Un prince, qui s'appelait José Pafferçat, l'aimait. Mais c'était sans compter le sorcier de service ! Qui l'aimait aussi ! Alors il changea le prince, non pas en crapaud (il en avait marre), mais en sac poubelle ! La princesse fut très triste en apprenant la nouvelle. Alors, comme elle était elle-même une fée, elle se changea en sac poubelle. José se maria avec elle et ils eurent beaucoup de petits sacs poubellions !

Morale : il ne faut jamais aimer une princesse si le sorcier de service est dans le coin.

. . .

« Vous voyez, c'est une belle histoire, hein ? Bon, allez faire une course. Vous m'apporterez du lait et des œufs. Le dernier arrivé est un coq humide ! »

. . .

« Qu'est-ce que c'est que ce truc ? Un sac poubelle ? Oh, Fabien ! Je t'avais dit de bien écouter la morale ! Enfin, c'est pas grave, on va faire une course en sac !... »

FIN

Quart de finale

Le 28/08/2021

11.06.21

Quart de finale

Roger Mc ENROE LEURE

Jhon FEDERER TOI

« Nous voici dans le stade où va se dérouler le tournoi de Philan Plaços. Nous avons à notre gauche le champion de Terre Non Battue, Roger Mc ENROE !

- Clap clap clap clap clap clap clap clap !

- Et à notre droite Jhon FEDERER !

- Clap clap clap clap clap clap clap clap clap !

- Les plus grands champions ! Qui des deux va gagner le huit ? Euh… le set, je veux dire…

Et le match a commencé ! Oh ! Oh, la belle faute de Mc DERER ! Euh, de FEDERER… La balle est allée dans le corridor ! Euh, le couloir ! Et ça fait déjà 15 à 00 pour FE FENROE ! Euh, Mc ENROE !

- Clap clap clap clap clap clap clap clap !

- Le service est à, euh, Mic, Muc,… Truc-ENROE ! Et il sert !!!! Oh, elle est faute ! Et ça fait 15 partout ! Sorcière DERER… Euh, FEDERER sert et c'est le but ! Euh, excusez-moi, ça, c'est au basket. Toujours est-il que Mc G.ROE, euh, Mc ENROE a gagné le six ! Euh, le set ! Teuheu, teuheu ! J'ai la voix qui flanche, moi. Machin ENROE est le champion !

- Euh, pchibsislipsi...

- Teuheu, teuheu ! Comment ça quart de finale ? Alors, je dois encore crier sur la demi-finale et la finale ? Mais j'ai plus de voix, moi ! 

! Oh non ! »

Tennis

Extrait de mon journal intime 2

Le 28/08/2021

07.06.21

Extrait de mon journal intime

5/00/2022

J'ai passé mes vacances sur Mars. Je me suis demandé si elle était une tomate trop mûre.

6/00/2022

Mon papa a tondu la pelouse. La tondeuse a explosé. Moi, il faudrait que je pense à chercher la barre de fer que j'ai perdue dans l'herbe.

7/00/2022

Je cherche toujours ma barre. Sinon, rien.

8/00/2022

J'ai retrouvé ma barre mais j'ai perdu mes fesses. Trop de fessées.

00/01/2022

Je me suis levé tôt, j'ai pris une douche, je me suis habillé. Je suis parti de bonne heure. Je suis même arrivé en avance ! L'école était encore fermée ! C'est normal, on était dimanche !

1/01/2022

J'ai été dépassé par un tracteur de 10 tonnes quand j'étais dans mon camion de 30 tonnes sur l'autoroute.*

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*Voir « Filégaro new »

Filégaro New

Le 28/08/2021

07.06.21

Filégaro New

De l'or !

Un homme appelé Mc Clawd trouve 1954kg d'or dans sa mine au Klondike à côté du Yukon. C'est le début d'une nouvelle ruée vers l'or ! Une ville champignon a de nouveau poussé. Elle abrite 3500 habitants et le score monte encore ! Mais chercher de l'or au Klondike est dangereux, déjà plus de 10 personnes sont portées disparues. En trois jours, ça fait beaucoup !

Faits divers

Un camion du genre 30 tonnes se fait dépasser par un tracteur de 10 tonnes sur l'autoroute.

Un bateau coule dans le port de Paris à cause de la bouteille de champagne qui a fait un trou énorme dans la coque.

Une vache monte tout en haut de la Tour Eiffel et ne peut plus redescendre.

Léguman sauve encore une fois l'agriculture logique et bio-logique.

Fait sportif

Un des chiens du Racuirre rattrape au vol un javelot et le rapporte au lanceur.

« Le javelot doit toucher le sol, dit son entraîneur. Tu n'as pas battu ton record. »

L'athlète se met à pleurer.

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Journal du capitaine

Le 28/08/2021

31.05.21

Journal du capitaine par Moi Inspiré de Star Trek

Co et Fissiant et Spastant 32.4

Nous sommes en orbite autour de la planète Cygogne I. Tout va bien, les bébés ont été Telle et Portté à bord du vaisseau Entre-Prise.

Co et Fissiant et Spastant 24.7

Nous avons été attaqués par le vaisseau d'Albator Boyot et faits prisonniers. Le plus bête de tout l'équipage, qui sait faire quelque chose et coissiont nous a délivrés.

Co et Fissiant et Spastant 18.8

Une maladie s'est répandue à bord. La moitié des hommes est atteinte. Moi-même, je suis atteint. Je vais devoir céder ma place.

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Journal du capitaine par M. Kops

Co et Fissiant et Spastant 47.1

J'ai rien à dire.

Co et Fissiant et Spastant 99.9

J'ai bu beaucoup de jus de fruit et j'ai fait un gros pipi. Il a fait une journée magnifique : le 1er soleil de la constellation du Shadok a brillé de tous ses feux.

Co et Fissiant et Spastant 14.5

J'ai mangé des frites, elles étaient super ! Elles ont été rapportées du Mc Do (elles sont pas bonnes, les frites de Maman).

Co et Fissiant et Spastant 59.3

En voulant inaugurer le nouveau Tell et Portateur, le bouchon de champagne m'a sauté dans le ventre et me vla clou et aulit pour trois semaines ! Je passe le rôle à M. Loussou.

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Journal du capitaine par M. Loussou

(ni Co, ni Fissiant, ni Spastant)

Le vaisseau d'Albator Boyot nous tire dessus ! Je

FIN

Coronaviking aux Canaries

Le 28/08/2021

28.05.21

Coronaviking aux Canaries

« Ouh ! Je ne me sens pas bien ! J'ai mal partout ! disait Marra. Je me sens mal ! »

Ces mots, Marra les avait prononcés entre deux sanglots.

Cela avait commencé en allant à l'école. Michel, Marra et moi étions triplés depuis la naissance.

En allant à l'école, je remarquais que Marra ne marchait pas très droit. Plus elle avançait en direction de l'école, plus elle paraissait absente ! En passant devant le cabinet du docteur, Marra tituba et s'effondra. Elle tomba en plein sur les pieds du docteur qui était sorti fumer une bonne pipe. Michel lui expliqua rapidement ce qui s'était passé. Le docteur, après avoir ausculté Marra sous tous les angles, nous dit :

«  Je vais mettre votre sœur dans un tube anti-contamination et après, vous allez me dire où elle est allée en vacances pour la dernière fois.

- La dernière fois, c'était à Lanzarote. Elle a fait un petit malaise. C'était un jour avant de rentrer, dis-je.

- J'irai là-bas et je trouverai la source du problème ! Déclara le vieil homme. J'irai seul, vous êtes trop jeunes ! »

Le lendemain, tout le monde partait pour les îles Canaries.

Pendant nos recherches, nous fîmes la visite d'un souterrain viking. C'était le soir, il n'y avait personne à part nous. Le docteur voulut allumer une pipe. Il s'appuya contre la paroi du fond qui pivota et il se retrouva dans une grande salle ! Michel et moi le suivîmes pour arriver à notre tour dans la salle. Là, nous restâmes abasourdis. Devant nous se tenaient trois Vikings ! Le chef, un grand avec un chapeau à cornes, nous dit :

« Nous vous attendions ! Nous connaissons l'histoire de votre sœur, pas la peine de nous expliquer. Nous savons tout sur tout ! Je vais vous dire une chose : les hommes sont méchants avec la nature. Nous avons alors envoyé du Coronavirus pour les calmer. Mais votre sœur n'est pas méchante ! C'est l'exemple à suivre. Nous allons vous donner du Stallonbludde...

- Euh, c'est quoi ? demanda Michel.

- L'antidote, mon cher, l'antidote !... »

Après, nous avons discuté politique. Nous avons aussi comparé le prix de l'essence et celui des Pom'potes. Ensuite, nous sommes rentrés.

Quelle surprise à notre arrivée !!!

Marra nous attendait, assise bien tranquillement à la terrasse d'un café ! Alors, l'antidote, on l'a tout simplement jeté dans l'évier !

Ça a quand même été une belle aventure !

Volcan

La cabane magique

Le 28/08/2021

21.05.21

La cabane magique

Un jour où Isa, la fille et Marc, le garçon étaient dans leur cabane dans l'arbre du jardin, il se passa une chose étrange. Cela avait commencé chez la grand-mère des deux enfants.

« Mamie, ton gâteau aux pommes est super bon ! dit Marc.

- J'en reveux ! J'en reveux ! cria Isa.

- Désolé, il n'y en a plus. Allez plutôt construire une cabane. Il y a plein de planches sous le rideau rouge, à la cave. On dit qu'elles sont magiques !

- Mais Mamie, la magie n'existe pas ! Viens, frérot ! On va la construire, cette cabane ! »

Le lendemain matin, la cabane était prête. En entrant dedans, quelle surprise !!! Ils se retrouvent dans un endroit bizarre ! Les arbres sont bleus, les maisons sont jaunes, les vaches, vertes et les moutons, rouges. Isa se retourna pour fuir ! Elle ouvrit une porte en pensant que c'était la porte de la cabane mais elle entra dans une petite maison suivie de près par Marc. Là, Isa et Marc firent la connaissance d'un hobbit qui, leur expliqua pourquoi les maisons étaient jaunes. Un dragon hantait la région. Il avait peur du jaune et il aimait le bleu. Mais il était en papier, ce qui le faisait invincible. Justement, le dragon arrivait !

Isa fouilla dans ses poches et en sortit une corde. Pour attacher le monstre, il fallait l'approcher ! Impossible !

Un crayon pour lui gribouiller les yeux ?

Impossible !

Alors Marc fouilla à son tour dans ses poches et en sortit une boîte d'allumettes !

« Voilà la solution ! » dit Marc tout content.

Ils firent un grand feu de bois et, en voyant la petite flamme bleue au milieu du brasier, le dragon se précipita sur le nid de flammes et brûla vif !

C'est à ce moment que les deux compères se réveillèrent. Ce n'était qu'un rêve !

FIN

Le noël aux extra-terrestres

Le 28/08/2021

20.05.21

Le Noël aux extra-terrestres

C'était un jour d'hiver, froid. Les arbres étaient nus. De gros flocons tombaient du ciel. Il y avait au moins 20cm de neige sur le sol. Dans le petit village de Grattouillis-la-Guilly, il y avait une grande maison. Elle avait un grand jardin avec un cabanon. Dans ce cabanon, il y avait tous les ustensiles de travail pour appeler des extra-terrestres !

Dans la maison, on préparait le réveillon. Toute la famille était là. D'abord le père, le savant. Et puis la mère, la cuisinière qui faisait de bons petits plats rapportés du Mc Do. En suite, il y avait les enfants, la grande sœur qui était toujours pendue au bout du fil. Et le petit frère, l'as des bêtises.

A ce moment-même, le petit frère de la grande sœur, qui s'appelait Mick, se baladait dans le jardin. Il entendit des bruits venant du cabanon. Le père avait oublié d'éteindre le radar. Mick entra mais ne sachant sur quel bouton appuyer, il fit un pouf-pouf. Le sort tomba sur un bouton marqué « ne pas toucher » qu'il s'empressa de pousser. Mais cela ne marcha pas alors il commença à taper sur l'appareil. Soudain une vibration fit trembler toute la maison et une soucoupe volante atterrit dans le jardin. Mick avait appuyé sur l'appel extra-terrestre ! Trois personnes en descendirent. Deux parents et un enfant, semblait-il. Les deux grands étaient bleu clair avec 9 yeux tout en long. Le petit n'en avait que 5. Ils avaient des petits bras minces avec des gros doigts qui faisaient au moins 3cm de diamètre.

Après les présentations, les nouveaux arrivants demandèrent pourquoi les Terriens avaient besoin d'eux. La mère invita la famille à s'asseoir devant la table. Les extra-terrestres mangeaient proprement mais ce qu'ils ingurgitaient était répugnant ! Au menu : steak tartare ketchup-mayo avec sucre et en boisson vinaigre blanc avec sel et poivre. Pour le dessert, il y avait de la soude avec eau de javel et laine de verre.

Comme les moteurs de la soucoupe devaient refroidir, les extra-terrestres dormirent dans la chambre d'ami de la maison. Toute la nuit, les Terriens se consultèrent. Les avoir fait venir, c'était bien beau, mais pourquoi ? Mick, pour se racheter, fit une supposition :

«  Je peux leur donner mes billes !...

- D'accord ! Tu leur donneras tes billes demain matin. Je veux que ces créatures disparaissent au plus vite !!! » dit la mère. 

Les êtres venus de l'espace n'avaient pas de verre sur leur planète. Alors ils partirent tout contents d'avoir un trésor !

Mais Mick n'échappa pas à la fessée. Il n'y avait plus un seul produit ménager. Tout mangé !

FIN

Histoire d'une pendule

Le 28/08/2021

10.05.21

Histoire d'une pendule

Au départ, j'étais dans une maison rose avec des tuiles vertes. Mais cette maison était triste. Avant il y avait des enfants dans la belle demeure et c'était beau à regarder ! Mais ils ont grandi et ils sont partis. Après leur départ, la maison devint grise et monotone. Moi, j'étais accrochée au mur. Des paroles bizarres sortaient de la bouche de la femme et du monsieur :

« Chéri, quelle heure est-il ? »

L'homme se plantait devant moi et me regardait bêtement avant de répondre :

« Il est 15h30, mon chou !... »

Ou encore :

« Il est 18h45, ma biche !... »

Ou alors :

« Il est 9h15, mon amour !... »

Alors j'ai décidé de partir. Je suis une pendule et, comme toutes les pendules, je peux voyager dans le temps. Je suis d'abord allée à l'âge de pierre. Je n'y suis pas restée longtemps ! A chaque fois qu'un homme préhistorique me voyait, il essayait de m'attraper et de me manger ! Je suis alors allée dans le futur. Je me baladais dans les rues quand un scientifique m'attrapa et me mit en cage !

« Un spécimen très rare de pendulite ancienne de 2039 ! C'est très, très rare ! »

Et il s'en alla. Alors, je me téléportai dans le présent et je dis :

«  On est toujours mieux chez soi ! »

FIN

Lettre à Gertrude

Le 28/08/2021

30.04.21

Lettre à Gertrude

Gertrude

Chère Madame,

Je demande un rendez-vous avec vous et tout le club des « Grosses Madames » pour parler. Nous demanderons aussi au maire de venir. Nous devons discuter de la statue « La Crotte de Chien » qui est dans le parc du « Canard qui boîte ».

                                                                                                    Gertrude

Le maire, M. Illé-Gaga

Cher club des Grosses Madames

Je suis de l'avis de Mme Gertrude et s'il y a une réunion du Club, je viens.

                                                                                                    M. Illé-Gaga, Maire

La présidente du club

Cher maire,

Il y aura une réunion du Club des Grosses Madames mais j'aimerais que vous disiez à vos policiers d'arrêter de mettre des PV sous mes essuie-glaces.

                                                                                                    La présidente du Club

Gertrude

Chère présidente,

Je propose de nous réunir le mardi 29 février. Je ne sais pas si vous avez quelque chose de prévu, mais cela me paraît une bonne date de réunion.

                                                                                                    Gertrude

La présidente du Club

Chère Gertrude,

Cela est une bonne date alors, l'incident est clos. Et on arrête avec les lettres parce que il y en a marre !

                                                                                                    La présidente du Club des « Grosses Madames »

Dr Jellil et Mister Ralde

Le 28/08/2021

22.04.21

Dr Jellil et Mister Ralde

Première partie

Dring dring ! Jellil descendit les escaliers et décrocha.

« Salut, Djel, c'est moi, Dinggo ! Amène-toi ! Le prof Radi-ho veut nous voir ! Tu viens ?

- J'arrive ! »

Dinggo était le meilleur ami de Jellil.

Arrivés au I.Q.F.T. (Institut Qui Fait Tout), le professeur Radi-ho les mena au laboratoire.

« Avec mes collègues, nous avons établi une supposition. L'histoire de Jekyll et Hyde pourrait être vraie ! Nous allons donc vous envoyer à l'époque où le livre a été écrit. Avant que vous partiez, Jellil, tu vas boire un fortifiant. Tiens ! Bon, tout le monde dans la machine ! Et c'est parti mon kiki !!! »

Jellil et Dinggo se retrouvèrent devant la porte de la maison de l'écrivain.

« Présentons-nous comme des journalistes ! » dit Dinggo.

Jellil sonna. Quand la porte s 'ouvrit, Jellil dit :

« Nous sommes journalistes et nognlgkcoz, Ah Ah Ah !

- Mais, Jell, calme-toi !

- Je ne suis plus cet ignare de Jellil, je suis Ralde !

Ah, Ah, Ah, Ah, Ah, Ah, Ah, Ah, Ah, Ah ! »

A suivre...

 

23.04.21

Dr Jellil et Mister Ralde

Deuxième partie

Au I.Q.F.T., le professeur Radi-ho :

« Oh non ! J'ai pris la bouteille de X32.7 qui était à tester ! On a envoyé Jellil dans le temps avec du X32.7 dans le corps ! Il faut tout de suite les ramener !! »

Pendant ce temps-là, Dinggo et Robert-Louis Stevenson, l'écrivain, poursuivaient Jellil transformé en Ralde. Ralde donna un coup de pied dans un caillou ! Le caillou rebondit sur le dos d'un cheval qui rua dans la fenêtre d'une maison ! La pierre vint frapper le pied d'un étalage de pastèques qui s'effondra. Les pastèques roulèrent dans la rue en renversant quelques personnes au passage mais Robert-Louis ramassa une pastèque qui roulait vers lui et la lança à la tête de Ralde qui s'écroula. Dinggo le rattrapa et c'est à ce moment qu'ils furent téléportés dans le présent !

Là, le professeur Radi-ho fit avaler à Ralde un concentré de B847.29 et Ralde redevint Jellil !

De son côté, Robert-Louis murmura :

« Ca me fait un beau sujet d'histoire !

Mais je vais l'assaisonner à ma façon ! »

                                                                 FIN

Le Marin et la Baleine

Le 28/08/2021

02.04.21

Le Marin et la Baleine              Adapté de Sinbad de marin

Il était une fois un marin qui, par son audace, devint capitaine. Il vogua sur les sept mers et, à force de voyager, il découvrit la « huitième mer » ! Mais ça, ça fait longtemps ! Maintenant, il la connaissait parfaitement, sa mer ! A part une ïle ! Elle s'appelait « Mystérix ».

Un jour, le marin débarqua sur cette île. Il fit un feu sur la plage pour cuire la soupe. Puis, il alla se balader dans l'île. Mais la terre se mit à trembler ! L'équipage, qui était resté sur le rivage, prit peur et s'en alla sans attendre son capitaine !

L'île était en fait une baleine !

La baleine s'était réveillée après plus de 100 ans ! Une forêt avait poussé sur son dos !!! La baleine plongea et le capitaine s'accrocha à un tronc d'arbre. Au bout de deux jours, il arriva sur une île. Là, des soldats l'emmenèrent au palais du roi. Le roi le prit à son service comme travailleur au port. Un jour, il vit sur une caisse qu'il devait décharger, son nom ! Il demanda au propriétaire :

« Tu étais dans mon équipage quand la baleine a plongé ?

- Capitaine ! Oui, j'étais dans votre équipage ! Je suis content de vous voir vivant, capitaine ! Vous embarquez avec nous ?

- Oui ! »

Et c'est ainsi que se termine l'histoire du marin qui devint Capitaine.

Sinbad

Le trou dans la coque

Le 28/08/2021

Le trou dans la coque

Acte 1, scène 1

M. Ducatu dort. Il est réveillé par un grand bruit.

Scène 2

Il descend les escaliers en 4ème vitesse.

Scène 3

Il voit un placard ouvert et sa lampe dérangée. Il dit : « Mes dossiers ! Les plans du « Trou dans la coque », je devais les faire signer au Ministre de la Marine ! Le sous-marin « Trou dans la coque » est perdu !!! » Il voit des empreintes et les suit.

Scène 4

Il arrive dans son jardin et voit M. Ptipoienboites.

« Ptipoi', qu'est t'es en train de faire ?!

- Je prends les dossiers du bateau à voiles !

- Bon, en tout cas, quelqu'un m'a volé les plans ! »

Acte 2, scène 1

(A New-York) « Il me faut les plans avant demain ! Mais, St-Tropez-New-York, c'est long ! Dans deux mois, il sera mis à l'eau. Le « Destructeur » (le sous-marin que je vais construire) met un mois et demi à être construit et, pour arriver à New-York, les plans mettent un mois entier !… Lancez des ordres : les gardes des plans prendront un avion de course et feront escale sur le porte-avions qui va au Canada. Ils ne mettront qu'un jour. J'aurai les plans à temps !

Acte 3, scène 1

L'espion (l'homme qui était devant le chef était un espion) part et retrouve son vrai chef, M. Ducatu.

Scène 2

Ducatu : Ah, c'est comme ça ? Et bien, nous allons faire un détournement sur le porte-avions !

L'espion : C'est risqué !...

Ducatu : C'est pas grave !…

Acte 4, scène 1

L'espion est professionnel. Par contre, Ducatu est nul.

(Sur le porte-avions) « Hé, Ptipois, t'as vu ma pose !? Prends une photo !…

- Pas le temps ! (dans sa tête) Crétin !

- On aurait dû mettre nos bottes à ressorts !

- Elles grincent trop !

- Mais si on leur met des bouchons dans les oreilles ?

- Idiot, idiot, idiot, idiot, idiot !!!!!!!!!!!!!!!!! »

Les gardes arrivent et ils sont pris.

« A cause de toi, on est pris ! Ah, si on avait mis nos bottes à ressorts ! »

Acte 5, scène 1

(Dans la cabine du capitaine) « Alors, vous vouliez détourner le bateau ? Des avions de course ? Je vais voir ce que je peux faire !...

Acte 6, scène 1

(De retour à la maison) « Je suis content d'être à la maison ! Mais, tu sais, Ptipoi, le sous-marin « Trou dans la coque », et bien c'était un gros boudin ! Y'avait pas d'écoutilles ! Et puis, il était en bois ! » L'espion s'évanouit !

FIN

achevé le 26.03.21

Le corail, la baleine et l'éléphant

Le 28/08/2021

19.03.21

Le corail, la baleine et l'éléphant

« Un éléphant, ça trompe, ça trompe... » Et bien oui, c'est vrai. Un éléphant, cela trompe. Je vais vous raconter une légende. La légende des noces de l'éléphant et de la baleine :

Une baleine tomba amoureuse d'un éléphant. L'éléphant, qui se souciait peu de la baleine, décida de prendre toutes les richesses du roi des mers et de s'en aller. Le roi des mers était le père de l'immense mammifère marin. L'éléphant dit à la baleine :

« Va voir ton père et dis-lui de m'apporter du corail d'or pour que je puisse tout décorer. »

La baleine en apporta à l'éléphant et il partit « tout décorer ». Mais l'éléphant revint bientôt et dit à la baleine :

« Le corail d'or a été volé par des voleurs ! »

En vérité, il avait dit à ses copains éléphants d'aller mettre le corail dans leur refuge.

« Dis à ton père de m'apporter du corail d'argent. »

Avec le corail d'argent, il se passa la même chose. Les copains du mastodonte arrivèrent et prirent le corail. Le corail de bronze disparut tout aussi rapidement.

Mais quand l'éléphant vint prendre sa part du butin, les autres éléphants avaient disparu AVEC LE CORAIL !!! »

          Alors on peut dire qu'un éléphant, ça trompe !

                                                        FIN

A la diète

Le 28/08/2021

04.02.21

A la diète              A la façon du Petit Nicolas

Hier, au dîner, j'ai repris trois fois de la tarte. Alors, forcément, j'ai été malade. Vers quatre heures, j'avais un affreux mal de ventre. Le lendemain, Maman a appelé le docteur. J'ai pleuré plus par habitude que par peur, c'est pour la forme. Le docteur, il a dit :

« Mon petit, tu es à la diète pour une semaine. »

Quelques instants plus tard, j'ai décidé de dessiner. Je suis allé dans le bureau de Papa et j'ai pris des feuilles de papier. Pas les belles feuilles à lettres, non, mais des papiers sans importance avec des choses écrites derrière. Et puis j'ai aussi pris le vieux stylo à plume de Papa qui coule un petit peu et je suis allé dessiner dans ma chambre.

Maman, quand elle a vu ça… Et puis le docteur est revenu, c'est Maman qui a été à la diète ! Je ne sais pas pourquoi !

Le livret scolaire

Le 28/08/2021

24.01.21

Le livret scolaire              A la façon du Petit Nicolas

Le soir, en rentrant, j'avais une boule dans la gorge ! Aujourd'hui, le directeur nous avait rendu le livret scolaire et les livrets scolaires, il faut les faire signer par les parents ! Et comme j'avais eu de très mauvaises notes et bien ça allait chauffer à la maison !

Avant de rentrer, j'ai attendu Alphonse qui s'est arrêté à la pâtisserie pour acheter des petits pains au chocolat parce que, il a dit, pour le dessert…

Les copains me quittaient peu à peu et je me retrouvai seul. Devant la porte, j'avais très peur ! En entrant, j'entendis Papa et Maman discuter :

« Ton patron te donne trop de travail, chéri !

- Ne dis pas des choses comme ça devant le petit ! »

Je lui tendis mon livret scolaire qu'il signa sans réfléchir.

« Monte dans ta chambre ! » a dit Maman.

Dans ma chambre, je me suis mis à pleurer ! C'est vrai, quoi ! C'est pas juste ! Ils ne s'occupent jamais de moi !

Extrait de mon journal intime 1

Le 28/08/2021

19.01.21

Extrait de mon journal intime

38/13/2021

Ce matin, j'ai vu deux mammouths qui se promenaient dans mon jardin. Je les ai embrochés et je les ai fait cuire au grill pour midi.

39/13/2021

Papa m'a disputé parce que j'avais fait 30 fautes dans ma dictée à l'école. Il m'a dit qu'il était premier de sa classe mais moi je sais qu'il était premier à partir de la fin.

00/00/2022

J'ai aidé ma maman à faire la vaisselle et à la fin, je ne lavais plus que des bols en plastique. Je ne sais pas pourquoi.

1/00/2022

Mon petit frère m'a disputé car j'avais séché l'école.

2/00/2022

Aujourd'hui, j'ai fait une division : 50 : 2. Papa m'a remis en grande section. La maîtresse était tout étonnée.

3/00/2022

Je ne suis pas allé à l'école car ma sœur voulait me faire un câlin. J'ai été obligé de fuir à Paris et quand je suis rentré, il était déjà minuit.

4/00/2022

Je n'ai rien fait de la journée parce que j'avais la grippe et 23 de fièvre.

Le secret du trésor caché

Le 28/08/2021

10.01.21

A la façon de Géronimo Stilton

Le secret du trésor caché (partie 1)

J'étais tranquillement assis dans mon fauteuil, en train de signer des contrats quand tout a commencé.

Ah, je ne me suis pas présenté ! Je m'appelle Cochise Cheddar. Je suis directeur d'un grand journal : le Figalo Gazette.

Donc, je disais que je signais des contrats quand la porte de mon bureau s'ouvrit brusquement et mon cousin Farcé Attrape entra avec son éternelle planche à roulette. Il me cria :

« J'ai un SCOOP !!! Le frère du cousin de la concierge de l'immeuble de mon copain est mon ami ! Il m'a raconté que le cousin du frère du directeur du musée du Louvre a découvert que le tableau de la Joconde cache un autre tableau !!! Cochise ! On se prend une Méga Pizza et on va cueillir le gars qui a découvert ça !!! »

C'est alors que j'entendis une petite voix :

« Tonton, je peux venir avec toi ?

- Bien sûr ! »

C'était mon neveu, Barnabé, qui venait de parler. Je l'adore !

Farcé cria alors :

« C'est parti mon kiki !... »

11.01.21

Le secret du trésor caché (partie 2)

Après avoir mangé une Super Pizza, nous découvrîmes le savant dans le laboratoire du musée. Il dit :

« Que me vaut l'honneur de votre visite ? » d'un air soupçonneux. Farcé répliqua :

« Salut l'ami ! Montre-nous un peu ce que c'est que ce tableau vrai en-dessus et faux en-dessous ! Ha, ha, ha ! »

Le savant :

« Ne rigolez pas trop, le tableau du dessous est entièrement reconstitué et parfaitement insignifiant. » 

Le tableau représentait dix symboles : une licorne, un iris, une vis, un rideau, un sol en dalles de marbre, une maison, un éventail, une lame de rasoir, un homme étourdi et une usine. Et tout cela sur un fond bleu ciel.

Barnabé fit remarquer :

« C'est quoi, en bas à droite ? »

J'allai chercher une loupe et je lus :

Il faut en trouver dix

Entre la six et la sept, il y a un...

Si vous les trouvez

Vous pourrez les crier

En haut du pic tu le tourneras

Et le rocher chanteur basculera

« Cela ne veut rien dire », fit remarquer Farcé.

- Mais si, c'est clair comme de l'eau de roche ! » cria Barnabé.

« Ecoutez... » et il expliqua…

12.01.21

Le secret du trésor caché (partie 3)

« La première et la deuxième ligne sont claires. Il y a 10 éléments ! « Il faut en trouver dix », ce sont des lettres et sûrement la première de chaque mot. La seconde est aussi facile que la première ! Un «……. », c'est un espace ! Cela formera deux mots. Essayons... »

Au bout d'une minute, nous avions trouvé les mots :

Cheddar 1

« Passons aux autres phrases, dis-je, mais ce n'est pas facile facile… Où les crier ? Sur le pic ? Mais quel pic ?

- Le rocher chanteur, cria Farcé, c'est la place de la pierre qui chante !

- Alors le pic, c'est l'obélisque qui trône au milieu de la place ! cria Barnabé.

- Alors il faut y aller ! » criai-je.

Dans le taxi, nous réfléchîmes au texte. Comment diable une place pouvait-elle basculer ? Quand nous arrivâmes, il était presque minuit. Farcé grimpa à l'obélisque et cria :

« LIVRUS MÊLÉEt bien voila, il ne se passe rien ! Mais, c'est quoi ? Viens voir, Cochisounet ! »

Je montai et découvris que le souffle de Farcé avait enlevé la poussière et faisait apparaître un petit LIVRUS MÊLÉ vertical ! Je le tournai et un tremblement de terre se déclencha sur toute la place qui

Cheddar 2

sur elle-même dans le plus grand des silences. Elle se retourna complètement à l'envers, découvrant un labyrinthe de livres !

Aujourd'hui, c'est un site de visite. Et moi j'ai eu un super SCOOP !

Quentin contre Mortepierre

Le 28/08/2021

A la façon de Rougemuraille

PARTIE 1

Chapitre 1

La cloche sonna, il était minuit. Dans la forêt de Bousilleufs, les animaux dormaient. Dans un buisson, quelque chose bougea. On vit alors une forme noire qui se dirigeait vers le château. Arrivée devant lui, elle se dirigea vers une petite porte basse. On entendit un grincement puis la forme disparut. Elle se dirigea d'un pas sûr vers un escalier de pierre qu'elle grimpa lentement. Devant la porte de la chambre du roi, un autre personnage l'attendait. Ils échangèrent quelques mots puis la seconde forme remit à la première une enveloppe rouge puis disparut dans l'ombre.

Chapitre 2

Le jour pointait et les gens du château se réveillaient et commençaient leur travail. Le coq venait de chanter et Quentin ouvrit ses yeux. En descendant prendre son petit déjeuner, il croisa le roi qui se lamentait.

« Que se passe-t-il, Sire ? 

- On m'a volé les plans de l'abbaye que l'on devait construire pour les moines de l'ancienne abbaye qui a été détruite par le seigneur de Mortepierre !

- Et vous êtes sûr qu'ils ne sont pas dans…

- Non, non et non ! J'ai regardé partout, des oubliettes au grenier ! »

Le roi avait tapé du pied et s'en allait en criant que la vie était mal faite. Quentin se dit que le roi avait une mauvaise vue et lui, qui n'avait pas plus de huit ans, trouverait les plans. Il chercha pendant presque une heure ! Il dut se rendre à l'évidence, on avait volé les plans.

Chapitre 3

Le garde entra et dit au seigneur de Mortepierre :

« Un homme désire vous voir, Messire.

- Ah, le voila ! Fais-le entrer. »

Un homme entra dans la pièce. Il dit dans un sifflement :

« Tenez, monseigneur. » Et il lui tendit une lettre.

Mortepierre la saisit, l'ouvrit prestement et en tira les plans !

Il les regarda et puis les mit dans un grand coffre rempli d'autres papiers.

« Retourne au château et ramène-moi les plans de celui-ci. Et si tu échoues, je te pendrai haut et court ! »

Puis il pensa : « Au travail à présent... »

 

PARTIE 2

Chapitre 1

« Alerte, une tour d'assaut se dirige vers le château ! »

Le drapeau de Mortepierre était dressé sur le toit de la tour. Tous les gardes se rassemblèrent sur le chemin de ronde. Les archers tirèrent une première rangée de flèches mais ce que personne n'avait vu, c'était que des échelles avaient été posées de l'autre côté du château. Des soldats et, à leur tête, le seigneur ennemi, se dirigeaient vers les commandes du pont-levis ! Mais au moment d'arriver à celui-ci, une cuisinière cria : « Au secours, au secours ! Ils vont abîmer le pont-levis ! » Les soldats se retrouvèrent encerclés en un rien de temps. Seul le seigneur de Mortepierre s'échappa…

Chapitre 2

Mortepierre et ses soldats étaient fous de rage :

« Bande d'incapables, d'idiots, d'imbéciles ! J'aurais dû penser aux cuisines. Mais vous aussi, triple andouilles !!! Hors de ma vue ! »

Les gardes s'enfuirent ! Il ronchonnait contre lui-même :

« Les cuisines, sur le plan, elles y étaient, pourtant ! Je reviendrai et ils verront de quoi je suis capable ! Ah, ha, ha ! »

 

PARTIE 3

Chapitre 1

Deux gardes, sur une tour, discutaient :

« Il paraît que c'est une cuisinière qui a donné le mouvement ?

- Ouais, même qu'elle était sacrément moche ! Mais ! Qu'est-ce que c'est que ça !… Vite préviens le roi ! Moi je vais donner des ordres aux soldats ! Vite !!! »

Une énorme armée, mais vraiment énorme, se dirigeait vers le château. Celui-ci fut pris d'assaut et ses habitants furent jetés à la porte ! Mais le roi avait tout compris. Mortepierre s'était, sous un faux prétexte sûrement, allié à tous les seigneurs des environs…

Chapitre 2

Maintes et maintes fois, les soldats essayèrent de reprendre le château. Mais devant plus de cinq mille gardes, ils reculaient. Tout d'un coup, le petit Quentin eut une idée :

« Mortepierre est chez nous, alors, allons chez lui !

- Bonne idée ! s'écrièrent les soldats. »

Et c'est ainsi que la horde partit dans la forêt. Mais bientôt, ils rencontrèrent des difficultés ! Des brigands attaquèrent les soldats et avant d'avoir pu faire un geste, ils étaient prisonniers. Seul Quentin parvint à s'échapper. Les hommes du roi furent entraînés vers le repaire des voleurs. Quentin partit, tout triste, vers le château de Mortepierre.

 

PARTIE 4

Chapitre 1

Quentin était dans ses pensées. Mais « Boum » :

« 'tention ! Chui là, moi ! Oh, mon ventre !…

- Excusez-moi !… Mais qui êtes-vous ?

- J'suis l'chef du groupe des »Rebelles de Bousilleufs » ! Mais, t'es un côpain de Mortepierre ?!

- Mais non, monseigneur ! Ce gredin de Mortepierre a pris le château du roi ! »

Quentin se trouvait devant un petit homme chauve et rondelet. Il avait une veste en peau de lion et des chaussures vertes.

Tout le groupe sortit des fougères.

« Où c'est qu'tu vas ?

- Je vais au château de Mortepierre ! Il n'y a plus personne là-bas !

- Mais y'a le dragon ! Y va te brûler l'nez ! J'vais t'donner une épée qu'est magique ! Dès qu'elle t'croit en danger de mort, elle s'anime !

- Merci ! »

Et Quentin s'en alla...

Chapitre 2

« Frrrrrrrrrrrrrr !!! »

Le dragon avait craché une première flamme !

Quentin suppliait son épée car au bout de trois heures, il était très fatigué ! Alors, l'épée bougea toute seule et vint frapper à la tête le dragon qui devint gentil et mignon !

L'épée dit :

« Grâce au dragon, tu vas pouvoir délivrer tes amis ! Moi, je retourne d'où je viens ! Je retourne à « Silimandistronne » !

Chapitre 3

Après quoi, tout est rentré dans l'ordre. Les prisons du roi étaient pleines !

FIN

Achevé le 09.04.21